plaque française WW1

Bonjour,
trouvée à côté de chez moi dans le pays de Saint-Malo, cette plaque était sur le site d'une ancienne carrière.





Est-ce qu'on peu en savoir plus sur ce soldat Labeaute François ?

Bonjour,

François Joseph Marie LABEAUTE, né le 21 juin 1871 à Castelnaudary.

https://mdr.aude.fr/mdr_aude/index.php/docnumViewer/afficheUdDocNum/?cote=104NUM/RW376&fichier=AD11_RW00376_106.jpg

Cordialement

Bonjour Cave canem,
https://mdr.aude.fr/mdr_aude/index.php/docnumViewer/calculHierarchieDocNum/574279/552193:574717:574718:574279/612/1088

Aller à la page 106.....
Cordialement.

Son père était négociant. Sa mère était sans profession. Ils vivaient rue de Sainte-Croix à Castelnaudary.
Son grand-père était lui aussi négociant et s'appelait François.
Il s'est marié à Paris, XVIIIe arrondissement, le 20 août 1909 avec Mathilde Offenberg.

Voir le document 100NUM/5E76/250 des archives de l'Aude.

Bonjour,

Rien de plus concernant cet homme. Je continue, sait-on jamais.

Cordialement

Bonjour,
merci à vous pour vos recherches, il faut que je trouve à quelle période il a pu se trouver vers Saint-Malo...

Bonjour,

Un plaisir. Cordialement

Bonjour,
au vu de ses différentes affectations, je pense que cette plaque a pu être perdue par notre homme entre mars et septembre 1916 alors qu'il était au 122ème RTI. Ce régiment a eu pour tache, entre autres, des travaux de réparation des routes et voies ferrées, or la carrière où elle a été retrouvée était justement spécialisée dans l'extraction de pierres concassées pour les ballast des voies ferrées et était à l'arrêt car les carriers étaient mobilisés depuis 1914. Possible que des hommes aient été détachés un temps afin de réactiver la production pour l'armée...

Bonjour,

merci pour l'ajout des précisions. Ou bien un homme ayant vécu en Bretagne plus tard ?

Cordialement

Normalement les plaques ne sont pas conservées par l'homme à sa libération, elles sont archivées avec son dossier

CAVE CANEM a écrit:

Normalement les plaques ne sont pas conservées par l'homme à sa libération, elles sont archivées avec son dossier

Salut,

Heuuu pas certain de ça vu le nombre qu'on trouve en vente un peu partout.

Aussi chaque homme en avait réglementairement 2 et j'ai déjà vu des lots de 3 ou 4 fabrications réglementaires sans compter ceux qui en faisait des artisanales plus ou moins belle en plus ou en remplacement.

Elle a tout à fait pu être perdue après la guerre.

Mes deux grands père ayant fait l'Algérie ont ramené la leur sans qu'on leur demande rien non plus à ce sujet.

Cdlt, Quentin.

Je parlais de règlementaire, après ce qui a été fait en pratique, c'est autre chose.
De 1879 à la décision ministérielle du 14 mai 1915, le soldat n'a qu'une seule plaque, puis deux.

Je veux bien qu'il l'ai gardée après sa libération en 1918, mais drôle d'endroit pour faire du tourisme cette carrière...
Pas vu son nom en temps qu'ouvrier après la guerre, c'était plutôt des italiens ( et plus jeunes) qui sont venus y travailler

Personnellement je pense à un homme qui aurait pu s'installer dans la région plus tard ?
Mais votre hypothèse peut aussi se tenir.

Cette ancienne carrière n ' a pas servie de déchetterie sauvage à un moment en un point ou un autre ?

ça pourrait aussi être une explication à l ' arrivée de cette plaque en ce lieu .

Je pense que ça a pu être perdu pendant la guerre effectivement , je voulais juste souligner que les plaques étaient quasiment jamais rendues même si ça devait l ' être . Et pas uniquement parce que les soldats filoutaient pour les garder .

Cdlt , Quentin .

Bonjour,
la carrière a été exploitée jusqu'en 1965, les dernières années pour la construction du barrage de la Rance. La plaque a été trouvée près de l'ancien concasseur, mais je crois que l'on ne connaîtra jamais avec certitude comment elle a atterrie dans cet endroit.
Merci à tous pour vos contributions,
bon Noël !

Bonjour,

Le principal restant sa sauvegarde et la connaissance du parcours de son titulaire.

Cordialement