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| Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen | |
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Heinrici Membre d'honneur
Nombre de messages : 2876 Age : 41 Localisation : Bastogne Thème de collection : ABBL Date d'inscription : 04/07/2010
| Sujet: Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen Jeu 26 Aoû 2010 - 0:02 | |
| Introduction
La construction et le développement d'un sujet de cette envergure nécessite à la base, une profonde recherche. Pour lancer le débat, nous constatons que les diverses influences de notre style de vie découle inévitablement des antécédents du seul (dernier) conflit mondiale. Tout les grands « faits » d'actualités économique, social, culturel voir sportif sont aliénés aux événements de ce désastre. Il est difficile de prendre consciemment un sujet et de le développé au vue des diverses sujet possible. Sans rentrer dans le domaine historique de l'uchronique, j'ai cherché un sujet plus profond et moins connu du publique. Je développe un fait concret, difficilement développable et avant tout instructif. En partant des conférences de Yalta et ultérieurement de Postdam, j'ai chercher à découvrir l'après guerre froide; constater les corrélations et les influences sur l'émergence du « bloc » Europeen. Le fait que j'ai choisit ne vous parlera pas à première vue, mais soulèvera chez tous les lecteurs une curiosité instructive. Mon choix se porte sur la ville de Kalinigrad et de son l'oblast. Ce nom n'évoque rien de concret mais entraine à l'heure actuel des grands problèmes au niveau mondiale mais avant tout Européen.
J'ai tenté de construire le sujet en Cinq points, mais le lecteur doit garder à l'esprit que tout les sujets entremêlement inévitablement.
Lors des conférences Yalta et de Postdam, la face du monde fut changée et façonnée selon les bons vouloir des grandes puissances vainqueurs. Nous devrions plutôt dire avec le recul selon leur(s) intérêt(s) personnel(s).
Historique Pour débuter, il est nécessaire de commencer par un petit récapitulatif historique. Kaliningrad était anciennement connue sous le nom Königsberg. Cette ville et sa région est considérée aujourd'hui comme le berceau du peuple prussien. Autrement dit le symbole d'une grande Allemagne aujourd'hui disparue. Königsberg fut fondée en 1256 avec l'arrivée des Chevaliers Teutoniques. Je saute quelque siècle et passe directement à la fin de la seconde guerre mondiale. Suite aux bombardements des avions Britanniques et du déferlement soviétique, la ville est totalement rasée. Comme nous le verrons lors du chapitre sur les conférences de Postdam et de Ylata, la ville devient une possession Russe et change de nom. Le gouvernement soviétique décide dés lors de vider la région de toutes les personnes d'origines germaniques en 1947. Le gouvernement repeuplera la région par des personnes venant des quatre coins de l'empire. La ville portera désormais le nom de Kaliningrad du nom du héros soviétique Mikhaïl Ivanovitch Kalinine. Au cour de la guerre froide, la région est fortement contrôlée et fermée à toute les influences extérieures. La chute du mur de Berlin et l'effondrement de l'empire soviétique ont libérées les états satélites de la Baltique, mais également la Biélorussie et l'Ukraine. L'oblast devient inévitablement une enclave au milieu de nations qui prennent inévitablement leur envole. Par simple remarque Kaliningrad se retrouve séparé par plus de 1000 km de la mère patrie. Aujourd'hui le problème est autrement plus grand car les états avoisinants sont membres a part entière de l'union européenne. Le butin de guerre de Staline se retrouve coincé dans l'estomac de la grande Europe. Le territoire est enlacé par la Pologne au Sud et par la Lituanie au Nord. Vladimir Poutin utilise quant à lui le terme d'«encerclé».
Légitimité et Histoire
L'oblast de Kaliningrad est une enclave russe au bord de la mer Baltique, entourée par la Lituanie au nord et la Pologne au sud. Jusqu'en 1945, l'oblast de Kaliningrad et la Voïvodie de Varmie-Masurie en Pologne ont formée la Prusse orientale, appartenant à l'Allemagne. L'oblast contient 900 000 habitants. La capitale est Kaliningrad (anciennement Königsberg).
Portion septentrionale de l'ancienne Prusse orientale allemande, la région de Kaliningrad, autrefois Koenigsberg, a été autoritairement rattachée à la Russie en 1945 par les Soviétiques. Les bouleversements consécutifs à la chute des régimes communistes n'ont pas modifiés le statut de ce petit territoire malgré sa non contigüité géographique avec la Fédération de Russie. Du fait du redéploiement actuel des forces militaires russes, sa position sur les bords de la Baltique lui confère une évidente valeur stratégique. Cependant, revendiquée par ses voisins, la Pologne et la Lituanie, par son ancien possesseur, l'Allemagne, ou même par un peuple sans territoire ni patrie, les Tsiganes, le sort géopolitique de cette région n'est nullement tranché et paraît donc susceptible de connaître des évolutions.
Si l'on se base sur le peuplement actuel à nette prédominance russe, les Bas-Allemands autochtones ayant été chassés en 1945, Kaliningrad devrait rester à la Russie. Si l'on considère les droits de la majorité des anciens habitants, Lituaniens non compris, elle devrait être restituée à l'Allemagne.
De fait, on assiste présentement à la résurrection d'une présence allemande en ces lieux. En effet, en 1941, devant l'avance des armées nazies,les Allemands dits de la Volga, furent à titre de prévention dispersés en Asie centrale par les Soviétiques. Après la guerre, leur ancien statut ne fut pas rétabli, ce qui en pratique correspondait à une punition collective. Aujourd'hui, ces Allemands en route vers l'Ouest, transitent par Kaliningrad avant d'émigrer en Allemagne. Certains cercles politiques, réalisant la mauvaise volonté de la Russie démocratique à restaurer la région autonome allemande de la basse Volga (région de Saratov), envisagent de fixer cette population autour de Kaliningrad. A terme, l'Allemagne pourrait réintégrer ce territoire dans le corps de la nation ou en partager la souveraineté avec la Russie. Ces deux visions, la russe comme l'allemande, somme toute logiques et raisonnables, font toutefois abstraction d'une réalité. L'influence positive des deux grands peuples ne peut s'exercer véritablement que si les conditions de la sécurité collective des États environnants est assurée durablement. Or, aucune de ces solutions ne peut rassurer ni la Pologne ni la Lituanie, qui ont eu trop à pâtir du fait des impérialismes de leurs puissants voisins. En outre, la nation russe, et l'allemande bien avant elle, est probablement entrée dans une phase durable de rétraction et de concentration démographique-spatiale dont il faut tenir compte.
Au début des années 2000, la Russie à mis sur la table, l'idée d'un partenariat stratégique avec l'EU. Lors d'une rencontre à Saint Petersburg en 2002, avec les états de la mer Baltique, le gouvernement russe a affirmé haut et clair, que malgré toute les ouvertures, il ne permettra à aucun etat, de remettre en cause la souveraineté de la mère Russie sur ce bout de territoire.
Postdam
Comme vu au point précédent, la création de ce petit territoire Russe s'est réalisé durant la conférence de Postdam. Nous verrons au chapitre sur la Géopolitique et la Stratégie le pourquoi de cette demande. Nous savons aujourd'hui que la demande soviétique n'a pas soulevé chez les alliés la moindre contestation. Si nous reprenons les points de la conférence, nous constatons que la question fut soulevé dans le point VI. Pour vous dire l'importance de se territoire aux yeux des Russes, il suffit de regarder que se point prédominait sur le rôle des criminels de guerres, sur le sort de l'Autriche et de la Pologne. Cette acceptation de la part des pays occidentaux développe de graves conséquences à l'heure actuel. Je vous soumet ci dessous un contre rendu de se fameux point VI. VI. - Ville de Koenigsberg et région limitrophe La Conférence a examiné une proposition du gouvernement soviétique suivant laquelle, en attendant le règlement définitif des questions territoriales par les traités de paix, la partie de la frontière occidentale de l'Union des républiques socialistes soviétiques contiguë à la mer Baltique, partirait d'un point situé sur la côte orientale de la baie de Dantzig pour se diriger vers l'est au point de jonction des frontières de la Lituanie, de la République polonaise et de la Prusse orientale, au nord de Braunsberg-Goldap. La Conférence a accepté le principe de la proposition soviétique concernant le transfert définitif à l'Union des républiques socialistes soviétiques de la ville de Koenigsberg et de la région limitrophe, telle qu'elle est décrite plus haut, sous réserve de l'examen de la frontière actuelle par des experts. Le président des États-Unis et le premier ministre britannique ont déclaré qu'ils appuieraient la proposition de la Conférence au moment du prochain règlement de la paix.
Stratégie Militaire et Géopolitique
La première conséquence de cette attribution en pleine guerre froide est d'offrir l'URSS un port qui lui ouvre les porte de la mer Baltique. Le port de Baltiisk offre l'avantage de rester praticable toute l'année au contraire de Saint Petersburg qui pour sa part gèle en hiver. La possibilité d'amarrer des sous marins nucléaires devient un avertissement pour les puissances de l'Ouest et une arme de dissuasion en plaine guerre froide. Si nous cumulons un certain secret hérité du système soviétique, des bases sous marines, une importante flotte de surface, des restrictions en tous genres, une forte présence militaire et l'incertitude sur la présence d'un arsenal nucléaire terrestre souligne avec force l'importance stratégique de la place aux yeux des Russes. Il s'agit d'un poste stratégique avancé qui peut se retourner en rempart en cas d'agression. Pour la Russie, cette place souligne la possibilité de la Russie d'intervenir dans les liaison interne de l'union européenne. Quelle serait l'impact d'une maitrise totale de la mer Baltique qui séparerait les pays scandinaves au reste de l'Europe. Plus loin de nous, un port sur la mer Baltique ouvre une voit directe à l'océan atlantique. Pouvant menacé directement les USA par L'ouest et par l'est. L'autre fait marquant de ces cinq dernières années est la politique extérieur des Etats Unis qui tentent de mettre en place sont bouclier anti-missile. Cette mise en place vise indirectement le potentielle de frappe nucléaire russe. Cette impression est renforcée par l'attitude qu'offre la Pologne. En effet cette dernière a accepté de placer sur son territoire ces infrastructures (américaine). Les Polonais gardent à l'esprit qu'ils sont directement visé par le potentiel russe. La surenchère est depuis quelque mois la règle. Le président russe Medvedev déclarait récemment la possibilité d'installer des missiles de moyenne porté sur sa frontière commune avec la Pologne (Oblast de Kaliningrad). Forte heureusement, nous avons assisté récemment à un apaisement suite aux propos du président Obama sur ce bouclier. Nous voyons que la Russie tente de se relevé de l'effondrement du système communiste et tente de montrer un raffermissement de sa politique extérieure. Par se simple fait d'actualité, nous pouvons constater la place stratégique que pourrait prendre l'Oblast de Kaliningrad. La perspective stratégique est importante et aujourd'hui, cette enclave russe peut devenir un grain de sable au cœur de l'Alliance atlantique. Il ne faut pas oublié que dans les années 2000, l'UE s'est élargie à l'Est et réactive les vieux réflexe de la guerre froide. Comment faire comprendre à Moscou, qu'il ne s'agit pas l'encerclement. En dehors de l'UE, nous retrouvons un autre acteur. Pour l'OTAN, Kaliningrad n'est pas une menace militaire conventionnel. Mais pour la Lituanie cette affirmation est encore de trop et exige une démilitarisation pure et simple du territoire. La présence de militaire dans la région permet indirectement à la russie de posséder un droit de regard sur les activité de l'Europe de l'est. La cause principale en est tout autres. Le fait de voir l'Otan et l'UE se développé à l'est ne permet plus à la Russie d'engranger de contrat (surtout militaire) sur les pays de l'est. le reflux continu de la présence stratégique russe en Europe. Il faut souligné également que les pays Baltes ont décliner l'offre de Moscou sur la création d'un pacte de sécurité régionale.
Avec l'entré de la Pologne dans l'OTAN en 1999, ce bout de territoire Russe se retrouve encerclé. Il faut également souligné que les pays baltes ont préférés signé en 1998 la Charte de Partenariat pour la sécurité avec les États-Unis. un tel élargissement de l'Alliance atlantique. Il y a donc une crainte de Moscou de voir un élargissement de l'OTAN à l'est. Cette constatation renforce la valeur stratégique de l'Oblast.
Pour conclure ce point, nous constatons que le seul avantage de ce territoire est strictement stratégique. Il n'y a aucune valeur économique ou financière à tenir l'oblast de Kaliningrad dans le girons de Moscou. Le problème Russo-Soviétque
Kaliningrad est avant tout un problème soviétique. Du point de vue géographique l'oblast est l'une des 89 régions (ou oblast) de la Russie. Comme dit précédemment, cette dernière est séparer par frontières. Mais Kalinigrad est surtout connu pour sa pauvreté, en effet cet oblast est le plus pauvre de Russie. C'est sont enclavement qui et son éloignement qui engendre cette pauvreté. La faible étendue de son territoire influence fortement son marché domestique. Les ressources naturelles de son sol sont faibles et le conduit inévitablement à une dépendance des ressources extérieurs. On estime se besoin importation à 90% surtout pour les produits de première nécessitée.
La pauvreté peut pousser la région à soulèvement séparatiste voir à une demande directe d'indépendance propice à un rapprochement de l'Union Européen. Pour étouffer toutes velléités, Moscou maintien une présence militaire non négligeable. Les forces en présence sont estimé pour l'heure à 60 000 militaires. Dans les années 90, les forces en présence comptait 200.000 hommes. A la suite de problème interne, la Russie à réduit son armement sur place en signant le Traité de désarmement en Europe lors du sommet de l'OSCE en novembre 1999.
Suite à l'effondrement de l'empire soviétique, Kaliningrad a profité des troubles pour tenter de s'ouvrir l'aide de l'Union européenne et un pseudo accord de dirigent Moscovite. En 2000, cette ouverture se transforma en laboratoire dans le domaine ses relations avec l'UE.
Pour simple remarque, nous savons le symbole que représente cette région au yeux du premier ministre Russe. La femme de Vladimir Poutine provient de Kaliningrad et illustre comment des relations international peuvent prendre une tournure personnel au sujet de cette région.
Pour souligné ce point, je terminerai par un remarque non négligeable. Les autorités russes craignent en outre que Kaliningrad, dotée d’un régime particulier, ne finisse par se sentir plus européenne que russe, et que ce sentiment n’alimente les velléités sécessionnistes de l’enclave coupée de sa mère-patrie, alors que la jeunesse de Kaliningrad voyage d’ores et déjà beaucoup plus vers l’Europe que vers la Grande Russie. Comme par exemple les problèmes que l'on rencontre dans certains pays de l'ancien bloc soviétique ( exemple des problèmes de la Géorgie, ou de l'orientation pro Européenne de la révolution orange en Ukraine).
Un problème écologique et sanitaire au coeur de l'Europe
Comme nous l'avons vu précédemment, l'Oblast de Kaliningrad constitue la région la plus pauvre de Russie. Cette simple phrase illustre les difficultés quotidiennes des habitants. Cela se répercute principalement sur l'Hygiène, les soins de santé et de l'environnement. Pour éviter un désastre au cœur de l'Europe, l'Union Européenne a débloqué plus de 40 millions d'euro pour ses infrastructures sanitaires. Ce geste est serte louable mais il ne représente qu'une goute d'eau. Pour confirmer cette remarque il suffit juste de regarder le développement de certaine maladie. L'enclave possède le taux de programmation la plus élevée de Russie et le taux de Tuberculeux ne cesse d'augmenter d'année en année. Si cela se passe sur le territoire Russe, il ne faut pas oublier que ce réduit est au cœur de l'Europe. Tout comme la pollution, les maladies ne connaissent pas les frontières. En parlant de pollution, il est également nécessaire de faire un point sur la situation. La pauvreté est étroitement liée à un déclin industriel. La chute du communisme à laissé à l'abandon de nombreuse infrastructures qui se transforment peut à peut en une énorme décharge de produits chimiques voir nucléaires. Mais ce dernier point ne peut être confirmé avec certitude. Nous constatons aujourd'hui que l'embouchure de la rivière Pregolya charrie dans la mer Baltique de nombreux composants chimiques. Les pays scandinaves sont les premiers touchés par une pollution des eaux et des produits de la pêche. Les infrastructures pour l'eau potable ne sont guère plus enviable. A la fin des année 70, l'union soviétique, à développé le réseau d'égouttage qui est toujours en fonction aujourd'hui et qui déverse dans la mer les déchets de consommation. La faute à la construction d'une station d'épuration jamais terminée. L'atmosphère est également touchée, car les quelques industries encore en état de fonctionnement sont vétustes et aucun système de filtrage de l'air n'est présent.
Il faut encore noter que la firme LukOil a construit une station d'extraction offshore à 22 km d'un parc national inscrit au patrimoine mondiale de l'UNESCO.
Le constat est suffisamment lourd pour ne pas en rajouté. Juste pour signaler la présence d'une poubelle géante à deux pas de chez nous.
Dernière édition par Heinrici le Ven 27 Aoû 2010 - 16:53, édité 3 fois |
| | | bmc Au tableau d'honneur
Nombre de messages : 5988 Age : 67 Localisation : secteur 244°ID Thème de collection : 20°sciecle Date d'inscription : 27/06/2009
| Sujet: Re: Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen Jeu 26 Aoû 2010 - 0:12 | |
| Pas mal des collectionneurs allemandes font leurs emplettes a Koenigsberg. bmc |
| | | Ephe Adjudant
Nombre de messages : 199 Localisation : Hérault / Gard Date d'inscription : 09/07/2010
| Sujet: Re: Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen Jeu 26 Aoû 2010 - 10:11 | |
| Super intéressant merci, je ne pensais pas les Russes encore aussi méfiants et hostiles a l'Europe... |
| | | dalibor34 Je viens d'arriver !
Nombre de messages : 1 Localisation : Montpellier Date d'inscription : 09/02/2011
| Sujet: Re: Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen Mer 9 Fév 2011 - 19:42 | |
| Bonjour,
Je dois me rendre à Kaliningrad ; auriez vous plus d'infos sur les possibilités de trouver sur place du militaria (boutiques, marchés...) ?
merci |
| | | Tinky Membre d'honneur
Nombre de messages : 12777 Age : 47 Localisation : Bastogne Thème de collection : 10th AD / coiffes belges WW1/WW2/corée Date d'inscription : 10/11/2008
| Sujet: Re: Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen Mer 9 Fév 2011 - 19:45 | |
| - dalibor34 a écrit:
- Bonjour,
Je dois me rendre à Kaliningrad ; auriez vous plus d'infos sur les possibilités de trouver sur place du militaria (boutiques, marchés...) ?
merci Bonjour, un passage par ici avant toutes autres choses: https://www.passionmilitaria.com/f1-bureau-de-recrutementMerci |
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| Sujet: Re: Konigsberg-Kaliningrad le problème Russo Européen | |
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