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 Les Eis. Panzerzüges

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asterix68
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MessageSujet: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyLun 8 Juil 2024 - 22:21

Oui Bonjour à tous et à toutes, depuis trop Lonngtemps absent. Et maintenant, comme je me suis aperçus, que dans notre forum, il n'existait guère de sujet parlant sur les Eisb. Panzerzüge ou en Français, Trains blindés Allemands, donc je vient de tombé sur plusieurs journaux de guerre sur les panzerzüges.
Mais avant tout, aux spécialiste, allez si vous le souhaité bien, essayer d'identifier les calibres ayant perforer celui ci!
Les Eis. Panzerzüges Znetwx10

Et puis les questions suivantes toujours aux spécialistes.
Es ce que cette tourelle peut provenir d'un ancien wagon Blindé Tchèque?
Merci si vous pouvez aussi identifier le calibre que détient cette artillerie.

Moi ces derniers jours j'ai fait des recherches sur les trains blindés Allemands, Le nombre de Trains que les Allemands détenait en 1939, j'ai bien posé la questions aux allemands, on verra ce qu'il me répondrons.
Déjà Le Eisb. Pz. 3 oui c'est bien celui ci, si vous l'avez identifier. Lui avait été ordonné de passer la frontière Polonaise de Chojnice pour rejoindre une ligne ferroviaire en direction de Danzig sur le territoire du Corridor Polonais. Toute la ligne je l'ai parcouru, mais actuellement elle comme c'était une voie desserte, elle depuis le temps, elle as du être supprimer des chemin de fer.
Le Eisb. Panzerzug 7. provenant de Königsberg, lui son rôle était d'embarquer des SS de la "SS Heimwehr de Danzig", à Malbork pour capturer intact le pont enjambant la Vistule à TCZEW, mais comme il y avait la petite gare de SZYSMANKOWO entre, ou malgré que le chef de Gare avait encore réussi à tirer avec son pistolet pour prévenir Tczew, avant d'être abattu comme les 29 Autres agents de la gare.
Donc stratagème pour berner les Polonais.

Enfin bref, dans chaque il y avait au moins 2 Eisb. Pz. Züge, Pour Königsberg eux disposait du 6 et du 7.
Le Eisb. Panzerzug 6. lui a été envoyé pour soutenir la prise de Granajewo podlarski.

Le Le Eisb. Panzerzug 1. Lui n'avait pas de blindage, (la locomotive est bien entendu). tout les Le Eisb. Panzerzug les wagons transportant du personnel, était ni plus que des wagon de transport de bétails.
Ici par exemple, la composition du Le Eisb. Panzerzug 3. de 1939 en haut, jusqu'en 1944 en bas.
Les Eis. Panzerzüges Bory_p10

Les éléments en couleurs noir existait déjà (composition antérieur soit 1938 pour le printemps 1939), et les Blancs était des ajouts.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyLun 8 Juil 2024 - 23:06

Non petite erreur de ma part, veuillez m'en excusez, le Eisb. Panzerzug 1, il ne détenait pas d'arme lourdes, donc à lui a été assigné pour sécurisé la ligne Schneidermühl – Bromberg -Laskowitz – Dirschau – Danzig.
Et Dirschau était ni plus que la dénomination Allemande de TCZEW en polonais.

Au mois de Novembre 1939, il as été transférer à Radom, ou il as conduit la sécurisation des lignes.

Au Mois de Décembre Envoyé à Düsseldorf-Eller, pour la préparation de l'invasion de la Hollandes.
Avant le 10 Mai 1940, il a été envoyé dans la gare de Hassen en Allemagne, ou il attendu patiemment le jour, et lui même ouvrit la voie suivit d'un second train de transport celui ci, transportant le IIIè Bataillon du Infantrie-Regiment 481 de la Infantrie-Division 256. ou ils surprirent totalement les Soldats Hollandais.
Et en poursuivant leurs épopée, à la hauteur du Village de Zeeland, son moteur à été touché par un avion, ou il as du s'arrêter d'urgence..

Et le reste vous pouvez le lire, sur le site hollandais des combats de la seconde guerre mondiale dans leurs pays.

Bien ici il faut que vous sachiez aussi, que lorsque un train était trop endommagé, la locomotive et les wagons on été mis à la ferraille, et l'ancien renumérotation du panzerzug, et revenu libre, pour une nouvelle composition.

Si en 1944, vous lirez par exemple Eisb. Panzerzug 3., cela ne veut pas dire que c'était le même depuis 1939, ici il a pu changer plusieurs fois de locomotive, ou de wagon.

Et ici il ne faut non plus croire, que au début de la seconde guerre mondiale, non pour la guerre d'Espagne, aucun n'a soutenu ou a participé, Pologne-Hollandes-France, et sécurisation des lignes contre les partisans-Resistant, et en Yougoslavie, Pour la France en exemple, pour faire peur aux resistant, fut employé 2-3 Train blindés, pour toutes la France, ou ils changèrent assez souvent de gare, en laissant croire, un surnombre de train blindés, qui sécuriserait telle région, ou telle autre.

Et bonjour Klaus von...
Sur les forum Polonais, ils sont unanimes Medem Mort en Russie en 1953 et oui = Panzerzug 7 provenant de Königsberg, Mais les SS-Heimwehr Danzig, Groupe de 20 hommes, soigneusement trié chez les SS-SA et dans la Polizei de Danzig, et étant monté dans les Wagons à Malbork = Marienburg dans la zone de Danzig.

Et la ligne de chemin de fer, et la fausse la tienne, la ligne se trouve plus en bas.


Dernière édition par asterix68 le Lun 8 Juil 2024 - 23:54, édité 1 fois
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Klaus Von Othioten
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyLun 8 Juil 2024 - 23:19

Hello,

Un sujet de niche mais très intéressant !

Concernant l'attaque du pont de Tczew/Dirschau le 1er Septembre, si je ne me trompe pas la Heimwehr Danzig attaque la ville depuis l'Ouest, ses positions de départ sont à Rambeltsch, puis elle avance sur Damerau et attaque sans succès le croisement de voies ferrées au Nord-Ouest de Dirschau.

L'assaut du pont depuis l'Est à bord du train est réalisé par le Gruppe Medem.

Au final l'assaut est un échec puisque le pont est détruit.

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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 0:00

Klaus Von Othioten a écrit:
Hello,

Un sujet de niche mais très intéressant !

Concernant l'attaque du pont de Tczew/Dirschau le 1er Septembre, si je ne me trompe pas la Heimwehr Danzig attaque la ville depuis l'Ouest, ses positions de départ sont à Rambeltsch, puis elle avance sur Damerau et attaque sans succès le croisement de voies ferrées au Nord-Ouest de Dirschau.

L'assaut du pont depuis l'Est à bord du train est réalisé par le Gruppe Medem.

Au final l'assaut est un échec puisque le pont est détruit.

Les Eis. Panzerzüges Image12

la partie Ouest comme tu pense = couloir Polonais, donc la Heimwehr von Danzig, n'aurait jamais pu mettre les pieds. Oui toi tu détient bien une carte avec les noms Allemands, mais ses noms proviennent après la reddition des Polonais.

Et les Stuka était parti de Elbing pour attaquer sans répis Dirschau.
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Klaus Von Othioten
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 0:10

Re,

Effectivement, la frontière est bien le trait rouge au sud de Rambeltsch (la partie Nord étant bien la limite de la "Freie Stadt Danzig"). C'est bien là que s'installe la Heimwehr la veille du 1er Septembre.
Mais à la déclaration de guerre l'unité franchit bien la frontière dès le matin pour tenter d'attaquer Dirschau/Tczew depuis l'Ouest, à pieds !

L'attaque avec le train sur le pont se fait depuis l'Est, sur la rive Orientale de la Vistule.

La carte provient de ce lien : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53063326r/f1.item.zoom

Ici un petit lien qui mentionne cet épisode, avec une carte un peu plus claire sur les mouvements de la SS-HD. Mais cela nous éloigne de ton sujet initial sur les trains blindés ! Very Happy
https://weaponsandwarfare.com/2019/01/24/ss-heimwehr-danzig-1939/
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 8:18

Bonjour,
il y a ça:
https://www.reddit.com/r/DestroyedTanks/comments/8a44ai/penetrating_hits_a_turret_of_eisenbahnpanzerzug_3/?rdt=35492&force_seo=1
Cordialement,
CG
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 8:30

Salut

La tourelle a donc été touchée par du 75mm polonais ...

Je ne pense pas que ce soit une tourelle allemande mais plus de la récupération ... elle fait trop "bricolo" pour de l'allemand de 1939 !

A+

Ludo
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 9:57

Re-bonjour Klaus von....
Les Eis. Panzerzüges Bory_p11

Donc ici on détient la composition exact du Eisb. Panzerzug 3., comme ont peut le voir sur la photo, malgré en vue éloigné ou une vue en général du train, donc ont remarque bien que le train blindé, détenait encore des wagon en bois sans blindage, l'unique blindage se trouve sur la locomotive se situant au centre, et pour les wagons Artillerie, se trouvant à l'avant et à l'arrière du Train.

Ici le Groupe SS Heimwehr Danzig Kriewald se laissant se photographier devant le Wagon Polonais, ayant servis au subterfuge.
La photo a été prise à Kaldowie le 1 Septembre 1939. Kriewald et l'Officier dans sa tenu tout en arrière plan à Gauche.
Les Eis. Panzerzüges Sa-sto10
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 11:32

Je ne trouve nulle part ce modèle de tourelle, ni en Pologne, ni en Tchécoslovaquie, ou en Hongrie ou autre pays des environs.
Son allure ferait même penser à une fabrication des années 20, mais là non plus il n'y a rien.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 11:38

Il y a ça aussi:
http://historiachojnic.com/13-z-kart-historii/ii-wojna-swiatowa/118-wrzesniowe-salwy.html

https://www.zawszepomorze.pl/artykul/4794,czy-ii-wojna-swiatowa-rozpoczela-sie-w-chojnicach-o-4-23

https://kv-bear.livejournal.com/436838.html

https://weekendfm.pl/?n=79906

http://forums.balancer.ru/tech/forum/2013/10/t60413_17--bronepoezda-i-bronemotrisy.html

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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 13:03

Bien a présent, on vas devoir voyager un peu. La raison étant que les journaux de guerre était établi sur les voyages de quelques officiers travaillant soit pour le compte du Generale inspekteur der Panzertruppen, ou après changement, sous le Chef de l'état major de la Heer.

Et là on se retrouvera en 1944, et une première énumération sur la position (je pense du lieu de réparation) du Eisb. Panzerzug 72.
Lieu près de Rastenburg, nom du lieu : Lager Fritz (surement en honneur de Fritz Todt, qui avait trouvé la Mort près de Rastenburg)
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 15:05

Bien ont vas voir si vous allez tout comprendre!

Citation :
du "H.Qu.OKH" (Quartier Général de l'OKH)

Oberlieutenant Heyden
Sous-officier au commandant des trains blindés
b. Chef GenStSH (au près du Chef d'état major de la Heer)

H.Qu.OKH. 22 août 1944
Brouillon
Rapport de voyage sur le voyage au Camp Fritz et au Panzerzug 72
du 19 août 1944 au 22 août 1944
Accompagnement : St.H.Niederberger.

19 août 1944
18h30 départ de Gare de Posdam
20h30 départ de Schles. gare

20 août 1944
8h00 Arrivée à Rastenburg, de là nous continuons en bus jusqu'au camp de Fritz. ont fait notre rapport au major Seek, Ia, du chef HNW (Heere Narichtwessen= Renseignement de l'armée). Et discutons sur la formation du personnel de renseignement des trains blindés. Par la suite, discussion avec le major Binder, chef de groupe IV du chef NHW., Oblt Ruppel et O.A. Bodenanne.

21 août 1944 Au Panzerzug 72, enregistrement des détails de l'équipement de communication du BP.42 pour le règlement "Directives pour l'utilisation des communications dans les trains blindés". Il est prévu de connecter le poste de tir anti-aérien au système d'interphone embarqué.
Des instructions d'installation correspondantes devraient être envoyées aux trains.
En outre, il convient de clarifier si le poste anti-aérien devra être relié à l'artillerie ou au contrôle tactique. Le PJK. - Les wagons sont reliées à la ligne tactique. Une connexion serait-elle également nécessaire au commandement de l'Artillerie. Les autorails Pz. et Pjkwagen n'ont ni dispositif de communication radio ni système Boschhorn. En cas de panne du système d'interphone embarqué, aucune transmission d'ordre n'est possible au Pjkwagen (wagon pjk sur BP42???) et au véhicule blindé uniquement via le Fu 5 dans le char. L'équipage du char devrait recevoir l'ordre d'allumer immédiatement le Fu 5 à un moment prédéterminé. fréquence si le système d'interphonie embarqué tombe en panne afin de donner les ordres de réception appropriés. Le major Seek et St. Schiffmann (OKH/Ag/N – le bureau de réglementation du groupe de renseignement) ont été invités à bord du train et ont montré un grand intérêt pour les détails de l'équipement de renseignement du train. Le major Seek a exigé qu'au moins un opérateur radio de chaque peloton blindé soit affecté à un cours de formation avancée. Il s'est également donné pour tâche de développer une procédure qui modifierait considérablement la manière dont la station radio du train blindé était reconnue comme un train blindé. Chaque fois que la languette de l'arbre change, il devient plus difficile de reconnaître le train blindé en raison du changement d'arbre, c'est pourquoi le Major l'a suggéré. Cependant, la mise en œuvre se heurte à de grandes difficultés. Le major Seek soutient en outre que le règlement "Directives pour l'utilisation du renseignement par les trains blindés" devrait être achevé le plus rapidement possible.

18h45 Retour du Panzerzug 72 au Camp Fritz.
19h00 Départ en bus du Camp Fritz jusqu'à la gare de Rastenburg.
20h00 Départ de Rastenburg en train officiel Pendant le voyage de retour, rencontre avec le Lt. Schiffman, du bureau de réglementation du groupe de presse, a discuté des détails de la rédaction du règlement proposé. Il a été expressément informé qu'un délai pour la production du règlement ne peut être donné car le... L'écriture n'est éditée qu'en parallèle du travail en cours.

22 août 1944
8h00 Arrivée Berlin Schles. gare
9h15 arrivée à la gare de Potsdam.

Donc si vous avez des idées à suggérer au sujet de cet abréviation mystérieuse BJK pour un wagon, je suis preneur.
Donc a cet date, ont peut retenir, que le Eisb. Panzerzug 72 était encore un BP-42
Que à cette date il se trouvait près du camps ou du dépot Fritz près de Rastenburg, qui lui a cette date était un dépot de réparation de train.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 18:29

Je vient de posé la question dans un Forum Polonais, pour aidé a identifier le lieu du "Lager Fritz" ou encore pour le centre de réparations des Trains se trouvant près de ce "Lager Fritz" Rastenburg, aujourd'hui Ketrzyn. Mais en premier il faudra qu'un modérateur du forum valide le sujet.

Dès que j'aurais une réponse de leurs part, je l'insère dans le sujet.

Et maintenant pour la suite, déjà, j'avais lu, que un membre avait déjà écrit sur un Panzerzug se trouvant à Toulon, si je ne me trompe pas.

Pour l'année 1944, en France se trouvèrent uniquement 2 Panzerzüge, le Pz. Zug 21 et le 22.
Ici cela se peut très bien, pour ne pas être identifier, que ici les Allemands ont aussi utiliser des stratagème telle que le "Graf Spee" avait utiliser en 1939 pour ne pas être identifier!

J'avais à un moment déjà rechercher ou se trouvait les nids de ses mastodontes, une des gares, aujourd'hui elle as été rasé, plus de voyageur depuis des années, et même les anciennes lignes ferroviaire ont disparu.
Une autre gare se trouvait près de Lyon.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 22:19

Le second document parle uniquement d'un voyage d'un autre inspecteur, qui c'est rendu à Plattlling se trouve au Sud Est de Ratisbonne, et au Nord Est de Munich, ou il as assisté à un exposé sur les locomotive avec condensation, et qui allait être utiliser dès à présent sur tout les future Eisb. Panzerzüge. (Si vous vous demandé, la raison que les Allemands ont intégré le mot Eisenbahn devant panzerzug, chez les Allemands existe aussi l'unité Zug= Peloton, donc peloton de panzer, en n'intégrant pas le mot Eisenbahn= Ferroviaire).

Et donc ainsi rien d'autre était spécifier lors de ce voyage. Donc inintéressant; mis à part que l'information sur le site d'essais des locomotives qui se trouvait à Grunewald, et que une locomotive avec Condensation, son autonomie était beaucoup plus grande que une sans condensation. Plus de 1000 Kilomètre de parcours, et que bien sûr le Tender en lui même était à présent aussi grand que la locomotive elle même.
LA longueur total de la locomotive était à présent de 27.5 mètre.
Et que le plus grand écart entre axe, faisait 23,2 mètre.
Et que cette dimension posait un sérieux problème, aucune possibilité de faire tourné la locomotive, sur une plate forme tournante standard. (désolé, je ne connait pas la réel dénomination de cette plateforme, je ne suis pas un ingénieur Cheminots).Merci donc si quelqu'un de vous, connait soit à travers les maquettes, soit de chez les Cheminots, le nom réel de cette engin, qui permettait de faire changer de voies les locomotives + tender.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 22:36

Juste une petite chose encore, pour son départ de la Gare de Potsdam, il était parti le soir à 21h30 et le lendemain il est arrivé à Plattling à 12h00.

En 1870, un Train Paris-Monte-carle, avait besoin de 30 heures, pour parcourir cette distance.
Bien sûr ici je n'ai pas intégré le facteur du nombre d'arrêt de train ni de la durée d'arrêt. Parce que je verrais mal, que un voyageur, ou une femme pourrait se retenir pendant 30 heures.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMar 9 Juil 2024 - 23:50

Bon, je vais vous donné a présent un bon dessert. Contenant plusieurs énumération de Train Blindé. Dont le 1er BP44 qui sera le Eisb. Pz. Zug 76., qu'ils disposait. Mais lui contenant encore des problèmes, telle avec les quadruples flak, et avec les hauteurs des tourelles.

Citation :
"H.Qu.OKH" (Quartier General de l'OKH)

Oberleutenant Kranefuss

H.Qu.OKH. 5 septembre 1944

Objet : Rapport de voyage sur le voyage du Oberleutenant Kranefuss du 29 août dans l'après-midi au 3 septembre 1944 dans la soirée, au Ers. Abt. Eisb. Pz. à Milowitz (Milovice en Tchéquie)près de Lissa/Elbe et chez l'adjoint. du général Kdo. IV A.K..

Arrivée au Ers. Abt. Eisb. Panzer Züge (Abteilung du personnel de remplacement pour les Trains blindé)le 30 août. vers 10 heures en raison d'un retard de train.

30/08/44 : Réunion de l'après-midi avec le Oberleutnant Feuerlein et le major Becker. Ensuite, en voiture vers le Mun. Camp du Ers. Abt. Eisb. Pz., en cours d'installation. (dépôt de munition de l'Abt.)

31/08/44 : Réunion matinale avec l'Oblt. Feuerlein et les sergents chefs de l'unité de marche ( unité de remplacement - du Kdr.d.Pz.zug (Commandant du Train Blindé). Dans l'après-midi, rencontre avec le major Naumann. Inspection de l'ensemble des installations de l'Abteilung de Remplacement. avec le major Naumann ; suivi d'une rencontre avec Oblt. Fisher

1.9.44 : Rencontre avec Oblt. Bothe, Uffz. Pilz et le trésorier de l'état major (lettre "T" imprimée avec de l'encre originale, + rcaska dans une autre encre et caractère imprimé ainsi.) Trcaska. Interrogatoire du Oberleutenant. Voorman.
Rencontre de l'après-midi avec (ici encore un caractère illisible devant le .ff.) Ofw. Reissner, Fw. Wegenmann. Présentation par Hpt Fw Friedrich (Sergent chef), Stfw. Wessel (Adjudant), Fw. Puis rencontre avec le major Naumann et le Oberleutenant Fischer.

02/09/44 : Rencontre avec Oblt Glogau, Uffz, Oberartz Dr. Jerg. Briefing de Fw.Lierau et Ofw Pfeiffer (successeur de Ofw. Wiegert Königsbrück).
Dans l'après-midi, nous nous rendons à Königsbrück pour rejoindre les unités, suivi d'une soirée de camaraderie au Eisb. Pz. Zug 4.

03/09/44 : Voyage à Dresde. Rencontre avec le major Köhler, représentant du Oberstleutnant Gebhard, adjoint. du général Kdo. IV. A.K.

Donc ici c'est juste l'organisation suivant le plan qu'il avait fait suivant le temps attribuer à sa visite.

Et soirée de camaraderie, cela laisse présager, que ce Oberleutnant Kranefuss, lorsque il se trouvait dans le train blindé 4, il as eu une promotion, et a été intégré dans l'état major Général de la heer.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMer 10 Juil 2024 - 9:43

2ème page/8

Citation :
du "H.Qu.OKH"

Oberleutenant Kranefuss

Points de discussion !
Wff. Ofw. Thürbe :

La coupole de commandement du 2ème wagon blindé ne fait pas tout à fait 10 cm de hauteur. Si ont la place à la hauteur de la tourelle du Lei. F.H. 18 (Obusier léger modèle 1918), elle permet facilement au quadruple canon anti-aérien de tirer par dessus.
La distance de tir la plus courte du canon quadruple anti-aérien dans le sens ferroviaire cela ont pourra encore après l'achèvement du 1er B P 44 avec la tourelle du lei. F.H. 18 et la coupole du commandant attachée le déterminées.

De même, pour les instructions tactiques du Oberst Kewisch, après l'arrivée du Panzerzug 76, la distance de tir la plus courte des canons individuels sera déterminée dans les différentes directions.

En tant que Adjoint du Wff. Ofw. Türbe (Wff. Ofw = Maitre de l'armement Sergeant Chef) est prévu le Wff. Ofw. Witt, du Eisb. Pz. 24. Poursuivez le processus en appelant 0.0. connu par le commandant des trains blindés. Jusqu'à ce que le Wff.Ofw arrive. Witt demandera au major Naumann de lui assigner un représentant. Jusqu'à ce que le Wff soit promu. Jusqu'à ce que Ofw. Türbe soit devenu inspecteur, est en attendant l'Oberstlt. Albertz, vas créer un poste d'inspecteur au Ers. Abt.  afin que le Wff.Ofw. T. puisse retourner au Ers. Abt. der Eisb. Pz.

L'installation des pièces de rechange livrées ultérieurement pour le lei. FH 18, qui a été créé sur la proposition de 0.0. Il est nécessaire de changer les tourelles, le Ers. Abt. Eisb. Pz. peut probablement réalisé dans un minimum de temps et sans aucune autre difficulté ses changements.

Un wagon de maître d'armes est entièrement disponible au Ers. Abt. Eisb. P.z. et pour l'utiliser en tant que wagon de ravitaillement pour le commandant des trains blindés pour quelqu'un qui est tué dans le terrain.

Les assistants maîtres d'armes sans expérience se trouvant dans le Ers. Abt. Eisb. P.Z. sur la ligne de front seront remplacés dans un futur lointain par des assistants maîtres d'armes de l'armée de campagne, et n'ayant pas encore reçu de formation par le Wff. Off. Türbe, et devront eux être échangée.

Selon le 0.0. L'atelier d'armement est déjà très bien installé. Une fois les projets prévus réalisés, ce sera ……… encore plus efficace qu'à Rembertow.


Pour la fabrication des raccords des tuyaux d'air pour le T 34, le Ers. Abt. Eisb. Pz. doit être renseigné par 0.0. pour être informé lesquels trains seront utiliser.
Aucun T-34 n’est actuellement utilisé.

Les Livres sur la tuyauterie que jusqu'à présent détient le Wff. Ofw. Türbe pour examen ne présentent aucun intérêt pour l'équipement d'artillerie. Afin de surveiller le travail des trains à cet égard, le modèle d'un raccord de tuyau est utilisé. le wff. Ofw. T. a rédigé et envoyé aux trains blindé une copie de sa lettre. L'intention est de soumettre une mise à jour sur les nouveaux raccords de tuyau pour  le 15 janvier 1945.

Et ben le dernier paragraphe, était pour moi assez laborieux à traduire, en raison de se fameux raccord pour tuyaux d'aération.
0.0. doit être un code, ce n'est nullement une abréviation. Surement dans le cas échéant, que le rapport soit intercepté par le service de renseignement alliée.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMer 10 Juil 2024 - 12:21

Oui, encore une nouvelle fois désolé, avant que un autre membre me l'inscrivent!
Ce n'est pas 0.0. Mais O.O. et là j'ai une correspondance pour Ober Offizier soit Officier Supérieur.

Ah je vous jure, ne faite jamais d'AVC, le mien, du mois de Février, ma fait perdre une partie de ma vision, donc mes yeux j'ai chaque fois l'impression, qu'il danse la rumba! Diagnostique: Double Fisher.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMer 10 Juil 2024 - 19:23

Hello,

Il faudrait voir le document d'origine, mais O.O serait pour moi Ordonnanz-Offizier
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyMer 10 Juil 2024 - 22:14

@ Crevette! j'en ai une bonne pour toi!
C'est rares que un sujet existe, sur la capture de la Tchécoslovaquie, n'es ce pas?
Et maintenant, celà vas t’épater encore plus, si rentre dans le récit, une partie du récit d'un train Blindé Tchèque., waouuuuuuh n'es ce pas.

Et à présent, dieu merci que le forum Allemands, dispose de centaines et de centaines d'ancien sujet.
C'a y'est c'est mentionné aussi dans un vieux journal (article en langue Allemande, dont il me faut en premier traduire), comment les Eisb. Panzerzüge du moins en 1938, on été créer.
Donc peut être maintenant on vas comprendre ce qui en est du fameux wagon artillerie, non identifiable.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptySam 13 Juil 2024 - 10:40

Donc en premier lieu, le wagon artillerie, cela n'est pas celui de ce tchèque.
Les Eis. Panzerzüges 11-01010

Article provenant d'un site tchèque, en langue Tchèque bien sûr pas de langue Anglaise. Donc c'est aussi pour cette raison, que les photos sont aussi inconnu par les intéressé des autres pays.
Parce que si une personne entre les mots clé panzerzug dans le moteur de recherche, et même en précisant l'année, telle pour l'année 1938 qui est ici le cas. Ben tin, tin, et avec le moteur de recherche Mr. Pub et Mr. Actionnaire communément appelé Goo..... encore moins de trouvaille.
Donc ici en premier il faut utiliser un traducteur en ligne, et choisir la langue tchèque pour traduire les mots clé.
C'est comme si vous rechercher un modèle polonais, ou Austro-Hongrois. Arrêté d'utiliser la langue Anglaise, elle ne servira à rien d'autre, que de trouvé les photos et les récits, qui existe déjà, et qui sont connu par le grand public.



Trains blindés improvisés du soulèvement national slovaque

Jaroslav Spitalski

Dans l’entre-deux-guerres, l’armée tchécoslovaque disposait de six trains blindés permanents. Une plus petite partie des rames blindées provenait de l'équipement de l'ancienne armée austro-hongroise, une plus grande partie des voitures étaient nouvellement fabriquées dans les usines Škoda.

En cas de guerre, le ministère de la Défense nationale prévoyait de déployer douze trains blindés improvisés, dont un ensemble devait être affecté aux quartiers généraux des différentes régions frontalières. Le train blindé improvisé devait être composé d'un wagon avancé, d'un wagon-mitrailleuse avec un canon et d'un wagon-mitrailleuse. Pour la construction, des wagons ordinaires et des locomotives modifiées des séries 310.0 ou 311.4 devaient être utilisés. Selon le plan de mobilisation, les trains blindés improvisés devaient être prêts au combat le quatrième jour après l'annonce de la mobilisation. En mai 1937, la question de la construction d'un train blindé improvisé est abordée par l'état-major de la 11e division. L'équipage de Košice s'est vu confier la construction de ce véhicule de combat, car, selon le commandement, il pourrait être menacé par un véhicule de combat spécial similaire du futur ennemi. De l'avis du commandement, la construction de ce train n'était pas une affaire simple, la construction semblait également prendre beaucoup de temps. Par conséquent, il a été décidé de mener un exercice au cours duquel la construction d'un train blindé improvisé (impr.OV) serait testée. Il s'agissait de vérifier s'il était possible de construire le train en quatre jours, et le futur commandant de l'Impr.OV devait se familiariser avec l'adaptation du matériel ferroviaire pour la construction d'un train et, en cas de mobilisation, d'utiliser son expérience dans la construction prévue d'un train blindé. Budget approximatif pour la construction de l'impr. VO représenté :
Matériel en bois – 5m 3 …………..…………. CZK 1 900 (Monnaie Tchèque de cette époque)
prismes 2m 3 …………..…………………………………….……….. CZK 540
planches 0,5 m 3 ……….…………………… … ………………… CZK 185
Matériel en fer – fil machine, boulons, etc. ……. 194 CZK

Matériau utilisé pour la construction du modèle d'entraînement. Le VO aurait dû être traité avec des conservateurs et conservé en cas de mobilisation. La construction pratique d'un train blindé improvisé n'était prévue que pour septembre 1938. Cependant, au cours de la période critique de septembre 1938, l'exercice n'a pas eu lieu et les douze trains blindés ont été construits « à la limite » après l'annonce de la mobilisation. Des trains blindés improvisés, par opposition aux trains blindés permanents, ont été déployés au combat en 1938 et 1939 pour assurer la paix dans les régions frontalières.

Il convient également de rappeler le déploiement au combat de trains blindés improvisés lors des combats dans le sud de la Slovaquie en 1918-1919. Il s'agissait essentiellement du même concept utilisé en 1938. À cette époque, les trains blindés permanents et improvisés sont devenus un soutien de combat inestimable. pour l'armée tchécoslovaque luttant contre la supériorité hongroise dans la sécurisation des frontières de la République tchécoslovaque nouvellement formée.

SNP IPV

Les unités rebelles lors du soulèvement national slovaque (SNP) ne disposaient pas de suffisamment d'armes lourdes, c'est pourquoi le commandement rebelle a décidé de construire des trains blindés improvisés. Le centre du réseau ferroviaire se trouvait précisément dans la région Banská Bystrica – Zvolen. De là, des lignes de chemin de fer menaient dans les vallées, en direction de Červenů Skala, Lučenec, Krupina, Žiár nad Hronom, Kremnica et Harmanec.

L'ordre pour la construction du premier train blindé a été émis par le quartier général de la 1ère armée tchécoslovaque en Slovaquie le 4 septembre 1944. La gestion militaro-organisationnelle de la construction des trains blindés improvisés a été confiée par le commandement de l'armée rebelle à Col. Štefan Čáni, qui commandait autrefois le régiment de chars d'assaut. Le lieutenant était responsable de l'aspect technique et de la construction des trains blindés improvisés. en réserve Ing. Hugo Weinberger (a plus tard changé son nom de famille pour Velan). Il avait déjà l'expérience de la Première République avec la construction d'un train blindé improvisé, qui fut nommé Bernolák après le 15 mars 1939.

L'équipe de mise en œuvre était composée d'autres officiers, sous-officiers et employés civils. Il était basé sur la réglementation de l'armée tchécoslovaque relative à la construction de trains blindés improvisés. Pour la construction, des wagons couramment utilisés devaient être utilisés, dont les murs devaient être renforcés avec des mousses et des sacs de sable. Des sacs de sable devaient être utilisés pour le blindage improvisé de la locomotive, et des écrans constitués de chaînes devaient protéger le conducteur du train avec un chauffage. L'affût de canon était armé d'un canon de 8 cm et de deux mitrailleuses vz.7/24. La voiture mitrailleuse était armée de cinq mitrailleuses vz.7/24.

L'armée rebelle disposait d'un certain nombre de chars non mobiles. Sur la base de l'expérience du front de l'Est, il a été possible d'utiliser des chars non mobiles pour l'armement IPV.

En accord avec le col. Le projet d'un train blindé improvisé a été approuvé par les Chinois. L'ensemble devait comprendre un wagon avancé, un wagon de canon, un wagon-char, une locomotive, un deuxième wagon-char, un wagon de mitrailleuse et un wagon à plate-forme arrière.

La construction du train a commencé immédiatement dans les ateliers ferroviaires de Zvolen. Ondrej Trnka et Ondrej Mozola ont été nommés contremaîtres à l'usine de locomotives et à la chaussée.

La locomotive prévoyait uniquement la préparation des locomotives. Les locomotives de la série R-320 étaient destinées à l'IPV par rapport aux petites locomotives de manœuvre R-310 initialement prévues. Deux équipes de travail de quinze ouvriers chacune ont été créées pour les travaux. Les employés des locomotives ont travaillé sur des modifications de locomotives sans aucun projet. Les modifications et la fabrication de l'armure étaient essentiellement gérées par O. Trnka lui-même, qui travaillait tout le temps en deux équipes. La plaque de chaudière était utilisée pour blindé les locomotives. La protection constituée de sacs et de chaînes fut rejetée par Trnká. Lors de la construction du dernier train, O. Trnk a été assisté par le contremaître Josef Dubaj.

Sur la ligne, tous les véhicules des ensembles de combat ont été construits. De plus, des modifications ont été apportées aux wagons des ensembles d'hébergement, qui devaient être affectés à chaque train de combat. Au début, plusieurs équipes de travail étaient affectées à la construction de trains blindés, mais l'ampleur des travaux était si considérable que par la suite, presque tous les employés travaillaient sur des trains blindés.

Le temps manquait, il n'y avait pas de temps pour dessiner la documentation, les problèmes pendant la construction étaient résolus sur place. Le 5 septembre, les travaux sur l'affût de canon et de mitrailleuse commencent. Il y avait une idée claire de ce à quoi devraient ressembler les wagons grâce aux expériences de la Tchécoslovaquie d'avant Munich. Le problème venait du matériau de blindage des voitures. Les usines sidérurgiques de Podbrezova n'ont pas pu livrer rapidement des tôles d'une dureté plus élevée. Le blindage des deux premiers trains était donc constitué de plaques de chaudière ordinaires. À l'exception du troisième IPV, des tôles de 10 et 15 mm avec une résistance de 70 kp/mm 2 ont été fournies .

La construction des trains blindés a été travaillée indépendamment du temps, l'effort étant de remettre les trains aux soldats combattants le plus rapidement possible. Les progrès de la construction ont également été étroitement surveillés par le quartier général de l'armée rebelle. Le 10 septembre, le commandant de l'armée rebelle, le général Ján Golian, a visité personnellement les ateliers ferroviaires, il s'est montré satisfait de la qualité du travail et a donné l'ordre verbal de construire davantage de trains une fois le premier IPV terminé.

j'espère que vous venez de comprendre la totalité. Et cela n'est que le début du récit.
Puisque il y'a encore les Allemands, qui vont entrer dans l'histoire.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptySam 13 Juil 2024 - 13:22

Train Blindé IPV

La construction du premier train blindé improvisé (IPV) a duré quinze jours. Le kit a été nommé IPV I « MRŠtefánik ». Une fois terminé, un essai sur ligne a été effectué avec le train sur la ligne Zvolen-Kriváň, au cours duquel les caractéristiques de conduite et la capacité de manœuvre ont été vérifiées. Le premier trajet a été suivi par Ing. Štefan Višňovský, directeur ferroviaire Ing. Ivan Viest, membres de l'état-major du 1er Tchécoslovaque de l'armée en Slovaquie, le colonel. Štefan Čáni, major Július Hanus, directeur technique Ing. Hugo Weinberger et représentant des ateliers ferroviaires O. Trnka et autres. Lors de l'essai sur rail, il a été décidé d'annuler la plate-forme arrière du véhicule pour une meilleure maniabilité. Le 20 septembre, des tirs violents ont eu lieu sur la ligne Zvolen-Krupina avec la participation d'experts militaires. Des modifications ont été apportées au train avant la fusillade. Par exemple, l'affût de canon a été reconstruit. Après la fusillade, le train a été remis à l'armée. Le 24 septembre, les employés des ateliers ferroviaires de Zvolen ont reçu une mention élogieuse du quartier général de la 1ère armée tchécoslovaque. armée en Slovaquie.

Le deuxième train blindé (techniquement meilleur) s'appelait IPV II "JM Hurban". Il a été achevé en onze jours, les travaux ont été réalisés dans des conditions dégradées, car il y avait un risque de raids aériens sur les ateliers ferroviaires de Zvolen. Une fois terminé, le train a été testé sur la ligne Zvolen-Krupina, où des tirs précis ont également eu lieu.

Le troisième train blindé était le plus avancé techniquement, car l'expérience de l'IPV I et de l'IPV II a été utilisée lors de la construction. Lors de la construction, l'accent a également été mis sur l'aspect extérieur. Ce train a été désigné IPV III « TG Masaryk ». Un essai ligne associé à des tirs précis a eu lieu sur la ligne Sása-Pliesovce.

Description des voitures individuelles de l'ensemble IPV

Voiture préliminaire - en slovaque, on l'appelait aussi voiture de palpage. Il servait à protéger le train lorsque la voie était minée. Il s'agissait essentiellement d'un wagon à plate-forme modifié qui était poussé devant le train sur un timon de 3 à 4 mètres de long. Le but de cette voiture était d'activer les mines et les pièges que l'ennemi placerait sur les voies. Le wagon-plateforme transportait du matériel et des outils destinés à la réparation de la voie. Le commandant de l'IPV I František Adam a déclaré dans ses souvenirs qu'il avait également une moto avec une remorque stockée sur le camion à plate-forme.

Voiture canon - a été construite sur une voiture de la série U avec une cabine de frein, les côtés ont été réglés et la voiture entière était couverte. L'armement principal était le canon léger modèle 5, de calibre 8 cm pour le tir frontal, et une paire de mitrailleuses lourdes, situées sur les côtés de la voiture. Les roues du canon étaient fixées à un plateau tournant en métal, ce qui réduisait la résistance au frottement lors de la visée horizontale du canon. Le canon était protégé contre tout mouvement pendant le tir par une traverse, qui a ensuite été suspendue. A côté de chaque embrasure d'une mitrailleuse lourde, des conteneurs plats en tôle perforée contenant de la chaux étaient accrochés au mur. Il s'agissait d'absorber les fumées produites lors de la cuisson.

La voiture de canon était également la voiture du commandant, le poste de commandement était équipé d'un simple périscope à miroir, construit par Ing. Weinberger. Le compartiment de combat de la voiture était entré par la cabine de frein.

Wagon-char – consistait en un wagon-plateforme sur lequel était placé un char non mobile. Des tôles ont été soudées sur ce char pour former la carrosserie du véhicule blindé. Seul le blindage supérieur du char, sur lequel se trouvaient la tour tournante et la porte à double battant de l'entrée du conducteur du char, est resté découvert. De plus, un trou pour le support d'antenne a été brûlé dans la carrosserie du wagon-char. Après les batailles de Čremošná, les tourelles de tous les wagons-char ont été renforcées par un blindage supplémentaire. Chaque ensemble de combat était équipé d'une paire de wagons-char. Le wagon-char derrière la locomotive était équipé d'un rail qui servait de réserve de charbon. L'armement du wagon-char se composait d'un canon de 3,7 cm de calibre 34 ÚV et d'une mitrailleuse modèle 35 dans une tourelle rotative. En étudiant les photographies d'époque, il n'a pas été possible de savoir si l'une des tours était armée d'une mitrailleuse modèle 37. L'autre armement consistait en une ou deux mitrailleuses placées sur les plates-formes des wagons-chars. Ces mitrailleuses étaient destinées à la défense anti-aérienne du train. Lors de la construction des wagons-chars, l'intérieur des chars lui-même a été modifié, de sorte qu'il soit possible de transporter une plus grande quantité de munitions et d'autres matériaux et d'offrir à l'équipage un espace moins exigu. Par conséquent, tous les éléments inutiles de l’équipement d’origine du char ont été démontés. L'équipage est entré dans le wagon-citerne par une trappe dans la tour d'observation ou par une porte au-dessus du compartiment du conducteur du wagon-citerne.

Locomotive – un certain nombre de modifications ont été apportées aux locomotives, par exemple les ressorts à lames ont dû être renforcés en raison du poids plus élevé de la machine après un blindage partiel. La locomotive 320.213 a été modifiée pour l'IPV I "Štefánik", la 320.217 a été modifiée pour l'IPV II "Hurban" et la locomotive 320.220 a été modifiée pour l'IPV III "Masaryk".

Voiture mitrailleuse - a également été construite sur une voiture de la série U avec une cabine de frein. La voiture était armée de cinq mitrailleuses lourdes. Semblable à l'affût de canon, il y avait des conteneurs à côté de chaque embrasure pour absorber les fumées du tir. Il y avait une tour d'observation sur le toit du wagon, qui était équipée d'une trappe ouvrante dans la partie supérieure.

Voiture à plate-forme arrière - était de la même conception que la voiture préliminaire. Après les premiers essais, il a été décidé de retirer cette voiture de l'ensemble des trains blindés improvisés.

Tous les véhicules de combat étaient équipés de trappes de secours dans le plancher des wagons. Chaque voiture de combat était également équipée d'un frein à main. Le fonctionnement des freins était constamment vérifié en raison du déploiement des trains en terrain montagneux.

La protection des équipages des wagons de canons et de mitrailleuses contre les coups de munitions d'infanterie et d'éclats d'obus était assurée par une double paroi composée de poutres et de poutres, entre lesquelles un remplissage de gravier était coulé. De l'extérieur, la protection des véhicules de combat était renforcée par des tôles passe-partout.

Les châssis des véhicules de combat étaient protégés par des tôles. Ces plaques protégeaient les roues des chocs directs et couvraient également l'équipage lorsqu'il quittait la voiture par la sortie de secours. Ces plaques de recouvrement ont d'abord été considérées d'un œil critique, mais se sont finalement révélées utiles au combat. Dans le cas du premier train blindé "Štefánik", seules les roues étaient initialement couvertes, des plaques de recouvrement du châssis ont ensuite été installées sur toute la longueur du wagon.

Le premier IPV "Štefánik" construit était camouflé selon l'exemple des véhicules blindés de la Première République avec un camouflage tricolore. Lors des combats, il s’est avéré que ce camouflage n’était pas adapté. Le train était facilement visible depuis les avions. Par conséquent, l’ensemble a ensuite été repeint en vert et doublé de pin. D’autres trains improvisés n’avaient qu’une peinture entièrement verte.

La communication entre les véhicules de combat était assurée au moyen de téléphones de campagne, d'une cloche électrique et d'un dispositif permettant de faire fonctionner un sifflet à vapeur. Les commandes de ces appareils de communication étaient situées dans chaque voiture.

L’intérieur des véhicules de combat était éclairé électriquement par une distribution 24 V alimentée par des accumulateurs.

Hébergement - kit auxiliaire

Chaque train blindé improvisé disposait d'un logement ou d'un ensemble auxiliaire. Il était assemblé à partir de voitures de la série Z. Il se composait d'une voiture de bureau, qui abritait également les quartiers des officiers et de deux voitures d'hébergement pour l'équipe. Les soldats dormaient ici sur des lits superposés, l'espace de la voiture d'hébergement était également équipé d'une table et d'un banc. Une autre partie de l'ensemble était constituée d'un wagon-cuisine avec stockage de nourriture, d'une ambulance et d'un wagon de munitions. Le groupe auxiliaire possédait sa propre locomotive non blindée. Un wagon-citerne de secours faisait également partie de l'ensemble auxiliaire, il y avait deux de ces wagons de secours pour l'IPV III.

Équipages de trains blindés improvisés

L’équipage du train blindé improvisé était composé de militaires et de cheminots. Le commandant de l'IPV I était le capitaine. František Adam, capitaine IPV II. Martin Ďuriš et le capitaine IPV III. Jan Kuklis. Tous trois étaient membres de l'Assault Carriage Regiment et officiers professionnels possédant une vaste expérience. Le capitaine devient commandant des trains blindés. František Ploskuňák.

Capitaine. František Adam était le commandant du bataillon KPÚV. Dans la phase initiale du soulèvement, il commandait des chars et des canons automoteurs lors des combats près de Hermanovci.

Capitaine. Martin Ďuriš était le commandant de la 1ère compagnie de chars et il était de notoriété publique qu'il n'était pas un partisan du régime clérofasciste. Alors qu'il était déployé sur le front de l'Est, il tenta de transférer l'ensemble de son unité dans l'Armée rouge. De retour du front, il a servi comme commandant de la compagnie d'état-major de la police militaire et de l'école de police militaire à Vranov nad Teplou.

Capitaine. Ján Kukliš commandait un peloton de chars sur le front oriental dans la région de Zaluž - Sanok lors de l'attaque des fortifications soviétiques. De retour du front, il devient commandant de la compagnie KPÚV 7,5 cm au PÚV. Après l'annonce du soulèvement, il était commandant du commandement central lors des opérations militaires en Turquie. Il participa également aux travaux de fortification du territoire rebelle. Fin septembre, il commande un groupe de combat composé de 25 officiers, 387 soldats et 137 partisans lors des combats en retraite. De ce groupe, le 2 octobre, Kukliš a été transféré à IPV III.

Les équipages des trains blindés étaient composés de membres de différents types d'armes, mais étaient essentiellement constitués de membres du Martin Assault Carriage Regiment. La plupart d’entre eux étaient des réservistes appelés au service actif pendant la rébellion.

L'âge des équipages des trains blindés variait entre 19 et 40 ans. Avant de se rendre au front, l'équipage a suivi une courte formation comprenant une préparation de séquences, une familiarisation avec les armes personnelles et des exercices tactiques.

Le deuxième groupe de l'équipage du train blindé était composé de cheminots. L'équipage des cheminots en tenue de combat était composé d'un conducteur de train, de conducteurs de train, d'un conducteur de train et d'un chauffeur. Deux équipes alternées ont été créées pour chaque train. L'équipe qui n'était pas en service reposait dans la suite d'hébergement. Les membres de cette équipe ferroviaire étaient des bénévoles. Ils devaient cependant présenter un livret militaire et étaient traités comme des soldats, dotés d'un uniforme et d'une arme personnelle.

Équipement de combat :
Wagon-mitrailleur - commandant de train, commandant de wagon, 4 hommes opérateur de canon, 4 hommes exploitant deux mitrailleuses lourdes et conducteur de train
Wagon-chars - commandant de wagon, mitrailleur et chargeur
Wagon-mitrailleuse - commandant, 10 hommes exploitant des canons
Locomotive - conducteur et chauffeur
Autres membres de l'équipage – médecin, équipe d'ingénieurs (3 hommes), armurier et guide. Celui-ci était situé dans la cabine de freinage de la mitrailleuse ou de l'affût de canon.

Ensemble d'hébergement :
Voitures d'hébergement - chef de train, attelage avec motocyclette, conducteur de train, conducteur de train, conducteurs au repos et chauffeurs
Voiture d'ambulance - sous-officier médical et deux porteurs des blessés
Voiture-cuisine - comptable et deux cuisiniers
Locomotive non blindée - chauffeur et chauffeur.

bien le reste je le met plus tard!
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptySam 13 Juil 2024 - 16:41

Déploiement de combat

IPV I "MRŠtefánik"
L'équipage du train, y compris les logements, était composé de 70 hommes.

Commandant du train : kpt. František Adam
Commandant adjoint : par ex. Anton Toköly

Equipe du train :
chef de train – Ján Marguš
chef de train – Augustín Hrčka, Florián Skala, Pavel Trebula, Pavel Paška et Ján Baran

Exploitation des locomotives :
conducteurs – Vojtěch Háčik, Dezider Jung, Anton Kováčik et Ján Makovník
chauffeurs – Pavel Šimo, Ján Uhliar, Šovčík et Štefan Kapec

Le train blindé était armé de trois wagons-citernes, dont un de réserve. Nous avons réussi à retrouver les numéros de ces wagons, n° Vl 4696, Vd 47211 et Vl 44760. Le commandant des wagons-citernes était le lieutenant. Rudolf Mosat. Fin septembre et début octobre, de violents combats ont eu lieu à Svaté Kříž nad Hronom et Stará Kremnička, où les Allemands ont attaqué avec l'appui d'équipements de combat lourds. "Štefánik" a été utilisé au combat pour la première fois sur cette section. Le 27 septembre, il mène une embuscade d'artillerie sur la ligne Hronská Dúbrava et soutient une contre-attaque des unités insurgées. Cependant, le train a essuyé des tirs nourris et a dû se mettre à l'abri dans un tunnel. Puis il s'est retiré à la gare de Hronská Dúbrava. Ici, il y a eu un raid aérien des avions allemands, le train a été mitraillé et bombardé. L'équipage a séparé le train en deux parties afin que l'ensemble ne soit pas détruit en cas d'attaque. Une bombe a touché le wagon avancé, qui a été endommagé. Après le raid, le train s'est rendu à Zvolen pour des réparations.

Après réparation, le train fut de nouveau utilisé lors des batailles de Žiar nad Hronom, Jalna et Hronská Dúbrava. Le 18 octobre, le train blindé a été déplacé vers la ligne Zvolen - Krupina. Ici, il a été attaqué à plusieurs reprises par l'armée de l'air allemande.

Un groupe allemand de troupes SS-Schill a attaqué de Krupina à Zvolen. IPV I a été déployé dans les batailles de Dobrá Niva. Le 20 octobre, dans la matinée, dans la zone d'élévation 463 (Sainte-Anne), un train blindé a été bombardé par des nids de mitrailleuses allemandes. L'avancée allemande est stoppée. L'armée rebelle a tenté en vain une contre-attaque à l'aide d'un train blindé. Les Allemands demandent le soutien de l'aviation, ce qui endommage fortement la voie ferrée et le train blindé est en danger. Le groupe d'urgence de Gustav Pástor est venu à son aide, a réparé la voie et le train blindé a pu se mettre en sécurité. Le lendemain les combats continuent, les Allemands déploient l'essentiel de leur force aérienne, six avions Ju 87 attaquent un train blindé à Dobra Niva, la voie est touchée à plusieurs reprises. Ensuite, deux Me 109 ont bombardé le wagon char. train, celui-ci a dû se retirer dans le tunnel, aussitôt trois avions Si 204 ont attaqué les portes nord et sud du tunnel pour empêcher le train de sortir. Les unités rebelles ont réussi à garder Dobrů Niva. L'action de combat la plus réussie du train blindé "Général Štefánik" s'est déroulée à Stara Kremnička et à Žiar nad Hronom. Ici, l'équipage du train a soutenu avec succès une attaque d'un bataillon d'infanterie et d'un peloton de "parachutistes" contre les Allemands qui pénétraient dans la vallée par l'ouest en direction de Zvolen. L'infanterie était également appuyée par un peloton de chars commandé par le lieutenant Ruman. À cette époque, le train occupait une position avantageuse dans la section de voie proche du tunnel de Stara Kremnička. Par un feu nourri, il permet à ses propres troupes de pénétrer à proximité immédiate de l'ennemi. Cette action réussie a eu un effet positif sur le moral de l'équipe du train.

Le 22 octobre, "Štefánik" est transféré à Zvolen pour couvrir la retraite de l'armée rebelle. Le matin du 28 octobre, un ordre a été émis pour désactiver le train. Près du village d'Ulmanka, toutes les armes et parties importantes du train ont été détruites afin de rendre le train inutilisable pour l'ennemi. L'équipage est passé à la guérilla.

L'IPV I était le moins blindé et le moins équipé techniquement de tous les trains blindés, mais c'est pourtant lui qui a eu le plus de chance lors des combats. Bien qu'il ait été constamment poursuivi par des avions, le train n'a pas été sérieusement endommagé.

IPV II "JM Hurban"
L'équipage du train, y compris les logements, était composé de 70 hommes.

Commandant du train : kpt. Martin Ďuriš – Rubanský
Commandant adjoint : lieutenant. Dominique Miartus

Peloton de train :
conducteurs de train – Ján Halaj, Ján Chovanec, Štefan Andráši, Štefan Líška et Ondrej Gonda
conducteurs – Ján Belička, Juraj Trnavský et Josef Ungvarský

Opérateurs de locomotives :
conducteurs – Pavel Maťaš, Mikuláš Jablonský, Ondrej Kúdelka et Josef Novák
chauffeurs – Juraj Šouc, Mikuláš Fekiač, Juraj Gaššo, Ján Oláh, Juraj Knapko et Ján Šarkán

Le 4 octobre, l'infanterie allemande, appuyée par des chars et de l'artillerie, lance une attaque contre les positions de l'armée rebelle près de Čremošná. Un IPV II a été déployé pour repousser l'attaque ennemie, qui a été renforcée par un troisième wagon-char. L'attaque allemande fut stoppée, mais le train blindé fut gravement endommagé. Les deux premiers chars furent touchés. Une tour a été complètement détruite et l’autre endommagée. Le combat a également coûté des vies, deux soldats ont été tués et quatre blessés. Outre les militaires, deux conducteurs de train et un conducteur de locomotive ont été blessés. Le téléphone et la sonnette ont été détruits. Le train a été envoyé à Zvolen pour réparation.

Après réparation, "Hurban" a été affecté à la section Banská Bystrica-Čremošné. Le 21 octobre, l'IPV III a été endommagé à Červená Skala, c'est pourquoi "Hurban" a été transféré dans cette section. Le 23 octobre, l'IPV II lance une contre-attaque sur Červená Skala avec des unités insurgées.

Les 25 et 26 octobre, "Hurban" a été déployé dans la section Banská Bystrica - Brezno, où il a couvert la retraite des unités insurgées vers Banská Bystrica. Parallèlement, il protège les transports ferroviaires avec du matériel militaire et des munitions. Lors de l'évacuation, deux trains de marchandises sont entrés en collision, la voie entre Dubová et Predajna a été barricadée et, en plus, bombardée par les troupes allemandes. Les cheminots ont essayé de rendre la voie praticable rapidement. L’équipage de l’IPV II a également contribué activement à cela. Après un travail acharné, qu'Alexander Varjů a payé de sa vie, la voie a été réparée. Le train blindé a continué vers Slovenská Lupča. Les troupes allemandes approchaient de toutes parts. Le train s'est donc dirigé vers Horné Harmanec, où il a rencontré l'IPV III "Masaryk". L'ordre fut donné de neutraliser les armes puis les trains furent cachés dans le tunnel. Les équipages se sont dispersés dans les montagnes voisines.

IPV III "TGMasaryk"

L'équipe du train, y compris les logements, était composée de 71 hommes.

Commandant du train : kpt. Ján Kukliš
Commandant adjoint : lieutenant. Jan Arpad Belko

Peloton de train :
conducteurs de train – Ján Pavlík, Vojtěch Vágner et Josef Kysler
conducteurs – Josef Murgaš et Ján Puskár

Exploitation des locomotives :
conducteurs – Ján Garaj, Vojtěch Ćermák, Štefan Sýkora et Josef Matejek
chauffeurs – Juraj Krkoška, ​​​​Josef Záchenský et Vendelín Barla

Durant l'offensive générale de l'armée allemande contre le soulèvement national slovaque du 18 au 22 octobre, les unités allemandes ont attaqué dans les directions Jelšava-Muráň-Červená Skala, Muráň-Tisovec-Brezno, Poprad-Vernár-Telgárt (Švermovo). IPV III a soutenu les unités insurgées dans la bataille en retraite.

Lors de l'attaque allemande, un train de munitions a été coupé à Telgárt, qui devait se rendre sur le territoire rebelle. IPV III a été chargé de sauver le train de munitions. "Masaryk", qui est entré par effraction à Červená Skala le 21 octobre, où il a détruit un nid de mitrailleuses dans le bâtiment de la gare et a continué à percer. L'artillerie allemande a réussi à toucher le train d'atterrissage du wagon-mitrailleur et les roues de la locomotive. Le train n'était plus capable de poursuivre le combat et a dû retourner à Zvolen pour des réparations.

Après la réparation, le train a participé aux batailles défensives à Nová Maša. La bataille fatale a eu lieu le 24 octobre, lorsque la locomotive a été touchée deux fois directement. Les éclaboussures d'eau bouillante ont blessé toute l'équipe de la locomotive. Ján Pavlík et Juraj Krkoška ont été grièvement blessés. Ján Garaj, brûlé au visage, au dos et aux mains, a pu mettre le train en marche avec la contre-vapeur et battre en retraite avec la machine. Ján Garaj était le seul membre de l'équipe de locomotive à survivre à sa blessure. L'ensemble a ensuite été remorqué par une locomotive de remplacement sous de violents bombardements jusqu'à Helpa. Jusqu'à l'arrivée de la locomotive de remplacement, l'équipage s'est défendu vaillamment, toutes les munitions ont été tirées.

L'avancée des troupes allemandes fut si rapide que le train blindé n'était plus réparé. Finalement, "Masaryk" a été déplacé vers le tunnel de Horny Harmanec, où les armes ont été mises hors service. L'atelier mobile de réparation des trains blindés a également terminé son voyage ici, composé de 60 ouvriers sous la direction d'Ing. Weinberger, dont le représentant était O. Trnka. Des équipages de trains blindés et d'ateliers mobiles ont quitté les trains ici et se sont rendus dans les montagnes.

Butin allemand
Les Allemands ont retiré les wagons endommagés des trains blindés improvisés jusqu'à Zvolen, où les wagons-chars ont probablement été réparés. Il existe une photographie bien connue montrant deux wagons-chars avec des traverses peintes se trouvent sous le château de Zvolen.

Deux
wagons, un wagon-mitrailleuse et un wagon-char, ont été préservés des trains blindés improvisés du soulèvement national slovaque. Pendant de nombreuses années, l'affût de mitrailleuse a été exposé dans l'enceinte du musée du SNP à Banská Bysrica. Le wagon-char se trouvait dans la zone des ateliers ferroviaires de Zvolen. Les deux voitures furent reconstruites à la fin des années soixante à l'occasion du quinzième anniversaire du SNP. La reconstruction suivante des deux wagons a eu lieu en 2010, lorsque le « Train blindé Štefánik » a été construit à l'occasion de la célébration de l'Insurrection nationale slovaque. Les deux voitures historiques font désormais partie de ce train. Des répliques de l'Advance et de la voiture d'artillerie ont été réalisées pour ce kit. Outre le train blindé, un ensemble d'habitations constitué de wagons de marchandises historiques a également été construit. Une exposition sur les progrès du SNP et l'histoire des trains blindés pendant le soulèvement a été installée dans l'appartement.

A l'occasion de la célébration, le train historique a voyagé à travers la Slovaquie. Je regrette de ne pas avoir trouvé le temps d'aller en Slovaquie voir ce train blindé dans toute sa splendeur.

Je n'ai eu l'occasion de voir le train blindé qu'en décembre 2010, lorsque j'ai visité avec des amis les ateliers ferroviaires de Zvolen, où l'ensemble est actuellement mis hors service. Nous avons eu suffisamment de temps pour une inspection détaillée de la mitrailleuse et du wagon-char.

Donc certain éléments ont été tout de même gardé par les Allemands. Mais maintenant trouvé une photo d'un Eisb. panzerzug, détenant le wagon????

Ma source contenant d'autre photo des 3 modèles de 1938.
http://rotanazdar.cz/?p=1754&lang=cs
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptySam 13 Juil 2024 - 23:06

Bien, alors à présent, j'ai un magazine ou un journal, qui existe encore actuellement, moi je ne fait que de la traduction, et j'insèrerais aussi le lien d'origine à la fin de ma traduction, donc ce n'est pas du plagia ou autre, puisque le site source historique sera préservé. Je reste donc dans les clous c'est juste de la traduction de la langue du contenu en Allemand, vers le Français. C'est juste pour que cela soit clair, et que personne genre avocat, ne tente de mettre les points sur les iiiii, non, je fait uniquement la traduction et pas de plagia en n'énumérant pas le nom ou le site de l'auteur. Restons donc dans la légalités.

Mais j'intègre de suite le site ou la page que je vais traduire.
https://sudetengebiete.de/herbst-1938/
Citation :
Villes et communes jusqu'à ce jour :

De sombres nuages ​​s'étaient accumulés sur le pays et la caserne du 42e régiment d'infanterie de Theresienstadt ((Terezin) était devenue vide. Certains officiers ont été transférés au cours de l'été dans la zone frontalière du nord de la Bohême, où des fortifications légères ont été construites. Seuls le commandant du régiment et un bataillon de garde sont restés à Theresienstadt. En août 1938, la plupart des tronçons de la ligne Schöber étaient achevés, ce qui signifiait que la pression des services de renseignement nazis augmentait de plus en plus. Le règlement de septembre sur l'état de préparation des troupes et des services de renseignement ainsi que l'ordre de renforcer la première vague d'attaques placent les unités de l'armée au plus haut niveau de préparation.
Les premiers réservistes ont été mobilisés début septembre. Certains d'entre eux étaient habillés et équipés dans l'ancienne caserne thérésienne. Le reste se trouvait au bataillon de remplacement à Weißwasser (Bela pod Bezdezem). D'autres emplacements d'équipement se trouvaient à Böhmisch Kamnitz (Ceska Kamenice) et à Steinschönau (Kamenicky Seno). Après avoir été habillés et équipés, les réservistes ont été immédiatement transportés vers la zone frontalière du nord de la Bohême pour renforcer la première vague d'attaques. Le 42e régiment d'infanterie bordait le premier bataillon frontalier à Bilin (Bilina). Il occupait les fortifications autour de Bodenbach (Podmokly), Aussig (Usti), Bensen (Benešov nad Ploučnicí), Böhmisch Kamnitz (Česká Kamenice), Kreibitz (Chřibská), ainsi que Schwenauer (Šluknov), Rumburg (Rumburk) et Warnsdorf ( Varnsdorf) Zone jusqu'à Neuhütten (Nové Hutě).
Selon le plan de sécurité des frontières, le front supposé de ses bataillons mesurait 82 km de long. Pour la mobilisation, le bataillon de remplacement du 42e régiment d'infanterie, en plus d'un régiment de campagne, a également fourni le 92e régiment d'infanterie B et le 151e régiment ZLO (Záloha leteckě obrany Air Defence Reserve). Après que ces mesures furent prises, la force atteignit un effectif de 12 000 hommes. À l'est près de Margarethendorf (Marenice).

Et utiliser https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_deutscher_Bezeichnungen_tschechischer_Orte
pour retrouver les lieu avec les dénomination Tchèque.
Cela vas me prendre un certain temps, mais c'est ça quand on est amoureux de la traduction.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyDim 14 Juil 2024 - 5:29

Oui mais en fait, je vient de terminer de lire l'article, et je pense ainsi, que il ne raconte rien de plus, que ce que nous connaissons déjà a travers l'article précédent. Que ici il s'agit pas des trains blindé Allemands, qui ont participé du moins qui ont été assigné à une armée, mais ni plus des trains Slovaques, qui ont été construit à la hâtes et qui eux participé comme c'est mentionné dans le récit, à de divers attaques, et qui une fois été réparer, ont été réassigné à une autre attaque.
Tandis que moi, je suis encore entrain de rechercher, les énumérations dans l'histoire de la première incursion Allemande, pour s’approprier les Sudettes, l'utilisation de leurs trains blindés.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyDim 14 Juil 2024 - 18:03

yes!!!!!!!!!!!!!! ah c'est quand même bien de persévérer suivant mes sources provenant des archives:

Vous souhaitez savoir combien de train Blindé les Allemands avait réellement disponible en 1938?
Et d'autant plus dans quel Wehrkreis ils ont été assignés.
Pas de baratin de Wolfgang... machin chose dans son bouquin, qu'il faut acheter, lui il donne un chiffre. en dessous de 10.

Oui bien sûr en dessous de 10, mais exactement 8, dont à certains Wehrkreis ont été assigné 2 Panzerzüge. Donc 13 Wehrkreis en total en Juin 1938, et uniquement 8 Panzerzüge disponible, dont 3 Wehrkreis a eux ont été assigné 2 Panzerzüge. donc reste 2 Panzerzüge disponible. Donc en 1938, il y avait surrement des Wehrkreis dans le Reich d'Adolf, ou les gens, pouvait facilement lancé des émeutes  ou des blocages de voie ferroviaire, et ainsi les panzerzüge furent là pour sécurisé les voies des chemin de fer.

Les Eis. Panzerzüges P1710

Les chiffres en haut en Romain = Wehrkreis et les chiffres entre parenthèse juste dans chaque colonne = le nombre de Pz Züge assigné dans un Wehrkreis.
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MessageSujet: Re: Les Eis. Panzerzüges   Les Eis. Panzerzüges EmptyDim 14 Juil 2024 - 18:50

ha ben plus que cette image tu meurt!
Reichwehrkreis IV = Dresden et le XIII = Nuremberg. et qui a eux seule, font bien le contour de la frontière avec les Sudètes. et 2 encore pour IX =Kassel.

Le Wehrkreis III = Berlin. et le VI c'est Münster.

Mais pour Wolfgang, il faut aussi le déduire, en raison, que lui ses données sur le nombre de Panzerzug, jusqu'au mois de Septembre ou Octobre, ce fut normalement le début Octobre 1938, qu'ils furent en mission. Donc de Juin jusqu'au mois d'Octobre, il y'a moteur et autre pièces qui ont pu lâché, et ainsi ce réduit vite le nombre à 6, qui était en état de fonctionnement. Du moins si lui a eut ses données, en fonctions des panzerzüge en état de marche.
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