Comment tirer une V2

La supérieurete arienne des allies,fait, que les allemands cherchent un système qui permet a compter
septembre 1944,le tir des missiles V2,ou plus exactes des "Aggregat 4" ou "A4",sans être inquiété
par les avions allies.
Le système fut baptise "Warme Semmel"(brioche chaude).A la base,c'est l'abandonne des stands de tir bétonnes et facilement repérables,contre les emplacement des tirs rustiques.
Les emplacement des tirs sont les routes goudronnes,les chemins foresteries ou les clairières dans
la zone de Pays Bas, de Hoek van Holland,La Haye ou les forets allemands sur le bas Rhin et le milieux de Rhin.Les batteries ne restent jamais plus de deux semaines dans le mémé secteur.

Les missiles sont directement livré de l'usine souterraine de "Dora",dans les secteurs de déploiement des unités tirants.Les unités de la Heer ont la appellation des Artillerie Abteilungen ou
Lehr und Versuchsbatterie.La unité de la SS,est la SS Werfer Bataillon 500.Tous ces unités sont sous le commandement de General SS Kammler.Les missiles sont plus peint comme sur les photos mais dans un bleu claire.
Le seule matériel visible sont les "Strabokran",stationne dans les gares de déchargement d'une unité.

Le Strabokran transborde la missile sur le "Vidal Wagen".

Le Vidal Wagen,sert au transport dans la zone de stockage et préparation a la "batterie technique" qui charge la missile avec environ 1 tonne de explosif.

C'est enfin le "Wagentrupp" de la "batterie tirant" qui transporte la missile sur le "Meiller Wagen",
dans la position de tir.

Cet Meiller Wagen est conçue de la maniéré,de porter les passerelles techniques nécessaires pour la mise a feu, et de installer la missile sur le "table de tir".

Cette table de tir au préalable est installe dans la position renseigne par le "Vermessungstrupp",
(troupe de géomètre),qui désigne chaque position de tir avec une numéro(il a en tout presque 500),et fixe les panneaux rouges sur les arbres pour designer les points cardinaux,car pour la ciblage en gros,les dérives 1 et 3 de la missile sont orientes en direction de la cible.La pointage
en fine se fait avec le table de tir.

A une distance de 20 a 30 métrés,deux trous sont creuses,pour abriter la groupe électrogène
et le véhicule blindé du officier du tir.Le arriéré du blinde de officier de tir est oriente vers la missile,et relaie au missile par les câbles.

L'officier de tir se trouve a gauche.Sur le photo on distingue la clef.Position a gauche=Test,position a droit=feu.
En dessous de clef,on distingue le sélecteur :
1=prés de faire feu,
2=aération de réservoir,
3=allumage,
4= prédécollage,
5=décollage.
A gauche de officier de tir se trouve le observateur de direction,son travail consiste a observer en permanence les Ampèremètres pour ils sont toujours a zéro.Une réaction des Ampèremètres finit le processus de mise a feu.
Le officier de tir donne l'ordre:"remplir réservoir"

Sur cette ordre 3.710 kg de l'alcool a méthyle et 4.900 kg de air liquide sont pompes dans la missile.
Le transport de l'air liquide,nececite les citernes spéciaux,car l'air liquide a moins de 183 dégrées,et les nuages de vapeur sont en vérité l'air liquide qui se vaporisé.
Quand le plein est fait,le troupe électrique remplit le espace vide sans le compartiment de la navigation avec les paquets de explosif de 1 kg.
Un fois ces travaux finies,les plateformes tombent et le Meiller Wagen se retire.
Le officier de tir:"Je met le clef au tir".
Pendant tout la opération il est relie par radio au stand de commandement.
Quand la précombustion commence,il déclare:"pré décollage RAS,je donne décollage",c'est dans
cet moment,comme aujourd'hui,les câbles relient la missile au véhicule blinde tombent automatiquement,et la missile n'est plus commandable.
A cet instance,le officier de tir a travers les fentes voit que un mer des flammes,et c'est dans
cette moment la troisième homme dans le blindé,assise dans une position élevé observe la décollage.

Le "A4",14,02 métrés de longue,diamètre de 1,65 métré,poids après plein de 12.988 kg et d'une porte de 320 Kilométrés arrivé a une vitesse maximale de 5.500 Km/h.
Après une décollage horizontale,elle prend un angle de 40 a 45 dégrées,la porte est réglé avec le "Brennschluss",la fin de combustion,la phase maximum de la propulsion est de 65 a 70 secondes et une hauteur de 35 kilométrés.Dans la phase de vol parabolique elle monté a 97 kilométrés,après elle tombe sur terre avec une vitesse de 3.600 kilométrés.
La missile,pour un vol Hoek van Holland-Londres met 5 minutes,avec une variation de ciblage de
17 kilométrés,pour Anvers il a moins de variation.
Grâce a la "brioche chaude",sur les 5.500 missiles tires entre septembre 44 et fin avril 45,aucune missile ou position de tir était détruit par les armées d'air des allies.

bmc

Salut,
Une Fernraketten Artillerie Abteilung,se divise en trois batteries avec trois sections "tirants"chaque.Chaque section est forte de 39 hommes,divises en "trupps" :
-Feuerleittrupp,avec officier de tir et groupe électrogène,
-Vermessungs- und Einrichtungstrupp(topographie),
-Elektroturupp(réglage de direction de missile),
-Wagentrupp,(meiller wagen et table de tir).
Une section,bien rode a besoin de 90 minutes,entre l'entrée dans le champ de tir et le tir.
Les membres des "Fernraketten",presque 10.000 hommes,dans le secteur russe,étant systématiquement arrêtes et déportes en Russie,pour travailler sur le projet de missile russe.
C'est le SS Werfer Batterie 500,qui tiré 11 missiles contre le pont de Remagen,après sa prise par les américains.

bmc

Bonjour,
c'est curieux comme trajectoire!
En fait ça monte et ça retombe, ce n'est que dans les 20 derniers kilomètres, tant en portée qu'en altitude, que la fusée commence à pointer sur l'objectif.

Dans les années 80, Maquettes Plastique Magazine avait donné les plans du semi-chenillé de l'officier de tir et je l'avais reproduit à l'échelle 1/72° en carton sur une base Airfix je crois.
J'ai peut-être conservé cette maquette scratch
Cordialement,
CG

Voici l'article de MPM paru en février 1977:



Et le plan au 1/76°:

Salut,
Le stand de tir a Borken prés de la frontière Néerlandaise,aujourd'hui.


Le sol etait renforce par une dalle en béton,pour avoir plus de stabilité pour le table de tir.


Dans le foret il avais les gardes,qui interdisent l'accès pendant les tirs.Ici un gardien laisse sa
trace sur le tronc d'un arbre.


bmc

Super comme exposé sur le tir de V2.
J'ignorais certaines choses notament "la brioche chaude"

CDLT

Limousin