les "bons" casques adrian wwI

bonjour !!!

Petit sujet pour demander quelques astuces pour trouver ( plutot reconnaitre ) un casque adrian de la
première guerre mondiale . ce serait principalement dans le but d'acheter un adrian français en bourse sans
me faire avoir mais aussi pour éventuellement reconnaitre les adrian belges de cette époque .
Si quelqu'un peut me renseigner ou si quelqu'un peu me faire un tuto pour les reconnaitre ...

merci d'avance !!
thomas.s

Salut

http://www.world-war-helmets.com/country.php?q=france

C est déjà une bonne base.

Salut

Tu veux savoir la différence entre un ww1 et ww2 ou juste savoir comment savoir si tel ou tel adrian est du premier conflit ?

Merci Phil74  

Pour casque ww1 : oui j aimerais savoir comment identifier un adrian du premier conflit  

Pour être certain que le casque a participé au 1er conflit il lui faut soit une plaque commémorative soit connaître l'origine ou qu'il y ai un marcage comme "souvenir de la grande guerre ect.."

Ensuite sur les modèle 1915 tu as entre les visières et la bombe du casque une sorte de bourrelet

Voilà un casque qui a participé à la 1er guerre. Tu vois le bourrelet ?

la bourrelet qui fait tout le tour du casque en dessous de RF ?? oui je le vois  

Regarde sur pm'aria n°4 j'y ai ecris un article avec les bases.

thomas.s a écrit:

la bourrelet qui fait tout le tour du casque en dessous de RF ?? oui je le vois  

Voilà

Casque ww1 a écrit:

Pour être certain que le casque a participé au 1er conflit il lui faut soit une plaque commémorative soit connaître l'origine ou qu'il y ai un marcage comme "souvenir de la grande guerre ect.."

Ensuite sur les modèle 1915 tu as entre les visières et la bombe du casque une sorte de bourrelet

Voilà un casque qui a participé à la 1er guerre. Tu vois le bourrelet ?

Salut !

Je ne vois pas en quoi le fait qu'il y ai une plaque ou un marquage prouve quoi que ce soit. Si il n'y avait que ça pour identifier un casque ça serait top !

Il faut savoir que la fameuse plaque commémorative a était distribué aux vétérans de la grande guerre le 11 novembre 1919. Elle n'avait pas de trous pour la fixer au casque est beaucoup d'ancien ne l'ont pas fixer a leur casque.

Oui je suis tout à fait d'accord avec toi mais si un casque possède une plaque tu peux être sur à 99% que ce casque a participé au combat .

Hello, je suis pas trop d'accord avec toi casque ww1, aujourd'hui j'ai un adrian ww2, et une plaque commémorative 14-18..si je les met ensemble ça ne fera pas un adrian ww1 pour autant..

Je veux dire que ton astuce n'est pas infaillible

Le casque Adrian M 1915 lointainement inspiré de la bourguignotte du Moyen Âge est le casque militaire équipant les troupes françaises pendant la Première Guerre mondiale. Il fut conçu dans l'urgence quand des millions de soldats se retrouvèrent engagés dans la guerre de tranchées et que les blessures à la tête devinrent la cause d'une proportion significative des pertes sur le champ de bataille.

Il remplaçait une cervelière en acier adoptée en février 1915 et fut distribué à partir de septembre 1915.

Histoire[modifier la source]

Ces casques sortent des usines Japy Frères à Paris (rue Albouy) et à Beaucourt, près de Belfort, et d'autres entreprises (Compagnie Coloniale, Reflex, Jouet de Paris, Société des Phares Auteroche, Dupeyron, Compagnie des Compteurs, et Bonnet, sur le boulevard Beaumarchais à Paris) et ont été conçus à l'aide de Louis Kuhn, chef de l'atelier d'agrafage mécanique des établissements Japy Frères. Ils ont été commandés par le sous-intendant militaire Louis Adrian, et en gardent ce nom d'« Adrian ».

Le casque Adrian était conçu pour protéger les soldats des éclats des obus qui explosaient au-dessus des tranchées. La présence d'un cimier est une réminiscence des casques de cavalerie ; il est destiné à amortir des chocs venant par le dessus (le cimier s'écrase, puis le choc est transmis à la bombe du casque). Le casque Adrian s'inspire de la bourguignotte du Moyen Âge. Comme la plupart des casques de cette époque, il n'était pas question d'essayer d'arrêter directement une balle de fusil ou de mitrailleuse. Le casque est fait d'acier doux d'une épaisseur de 7/10 mm, il pèse de 670 à 750 grammes seulement, plus léger que les casques allemands (Stahlhelm) et britanniques (casque Brodie) qui apparurent par la suite (février 1916 pour le casque allemand, fin 1915 pour le casque anglais).

De couleur bleu horizon, il était, contrairement à ces derniers, constitué de 5 pièces, la bombe, la visière et la nuquière, le cimier et la coiffe en cuir. À l'avant du casque était agrafé par des pattes métalliques l'attribut caractéristique de l'arme (infanterie, artillerie, chasseurs à pied, service de santé, la plus répandue étant celle de l'infanterie, une grenade surmontée d'une flamme, estampillée des initiales « RF » pour République française. La coiffe, noire ou marron, initialement taillée dans un seul morceau de cuir et comportant sept « dents de loup » trouées et rivetées pour permettre le passage d'une cordelette, fut constituée ultérieurement de sept morceaux de cuir cousus (six dents de loup et une couronne au dos de laquelle est cousue une bande de tissu, généralement issue d'uniformes usagés). En hiver, certains soldats rajoutaient un rembourrage supplémentaire de tissu ou de papier journal entre la coque et la coiffe. Les premiers casques furent peints en bleu brillant. Il apparut rapidement que les reflets du soleil en faisaient d'excellentes cibles. Les soldats les passèrent donc à la boue, puis une peinture mate fut distribuée aux unités, ainsi que des couvre-casques de tissu, avant qu'ils ne soient peints en bleu mat en unité, puis directement en usine. Les casques des troupes d'Afrique furent repeints en couleur moutarde, puis directement peints de cette couleur en usine.

La jugulaire des officiers est souvent en cuir tressé et achetée dans le commerce. La découpe de la partie antérieure du cimier peut légèrement varier selon le fabricant. Des casques en acier trempé furent commercialisés par la société Franck et Siraudin au prix de 20 à 25 francs (soit 47-59 euros) et rapidement interdits car dangereux en cas d'impact.





Buste d'Albert I de Belgique en uniforme militaire, portant un casque Adrian
Plus de vingt millions de casques Adrian modèle 1915 ont été produits. Il fut adopté largement par d'autres pays, comme l'Italie, la Belgique, la Thaïlande, la Russie, la Roumanie, la Pologne ou la Serbie.





Carte d'identification d'un soldat russe, portant un casque Adrian (distribuée aux GI's américains en 1942).
En 1926, une nouvelle version du casque Adrian fut adoptée. Fabriquée en acier plus résistant, d'une seule pièce plus la crête, il en fut produit 3 millions d'exemplaires. À partir de 1935, le kaki remplaça le bleu horizon dans l'armée française et donc la couleur du casque en fut modifiée, de teintes allant du kaki jaune au kaki vert en passant par le marron. Dans l'armée française, le casque Adrian (essentiellement dans sa version 1926) était l'équipement standard jusqu'après la Seconde Guerre mondiale, et fut utilisé par les forces de police jusque dans les années 1970.

Chez les pompiers, où il était chromé, il a été utilisé jusqu'au milieu des années 1980. Il a été remplacé par le casque F1, spécialement conçu pour leurs missions. Le casque « Adrian » est devenu le « casque de tradition » de nombreux corps de sapeurs pompiers. Certains exemplaires du casque Adrian peuvent avoir une cote intéressante chez les collectionneurs.






      

Je comprend tout à fait ton raisonnement mais je parle pas de remontage mais dans le cas ou le casque et la plaque sont montés "d'origine"

Voilà pour exemple un casque trouvé dans une grange, il était plus jus que jus et sans sa plaque je n'aurai pas pu affirmer qu'il a bien participé au premier conflit.

http://bleu-horizon-84.skyrock.com/photo.html?id_article=3171114217&id_article_media=44619579

Ils sont beaucoup plus classe avec leur plaque de Soldat de 14-18  

Merci à vous , à présent je vois la différence !!
Re-merci

thomas.s