le bagne est les bagnards a la rochelle

bonjours a tous aujourd'hui dans la série  de la rochelle je vais vous pressentez le bagne en tout cas je voulais remercier crevette et Klaus de m'avoir dis que je pouvait  le mettre n'étant pas militaria  cela reste fort intéressant dans le sujet historique surtout pour la rochelle et 'ile de ré , la rochelle a accueille beaucoup de forçat les convois parter 1 fois par semaine dans c'est convois il ya avait plusieurs type de condamner : les voleur ; les violeur ; les assassin mais aussi des opposant politique .






La condamnation ayant été prononcée, les détenus primaires rejoignent leur lieu de détention, généralement proche, entre deux gendarmes. Mais il n'en va pas de même pour les criminels et autres condamnés aux travaux forcés sur les pontons des bagnes portuaires. Depuis les galères, la France est régulièrement traversée par des futurs bagnards en route pour la géhenne. Ces convois dureront jusqu'en 1836. C'est la « chaîne »,. Elle partait de la prison de Bicêtre, à Paris, où elle était formée. Les forçats étaient acheminés, enchaînés, jusqu'aux bagnes de l'ile de re  , de Rochefort ... selon un itinéraire bien précis. ... Les bagnes portuaires fermèrent et furent remplacés par la déportation en Nouvelle-Calédonie et en Guyane mais les systèmes de la chaîne demeura ; les bagnards continuèrent à sillonner la France un certain temps avant d'être entassés dans des wagons de chemin de fer spéciaux. Plusieurs semaines avant de départ du convoi, les condamnés étaient amenés de toutes les prisons de France vers la forteresse de l'île de Ré construite par Vauban pour protéger le port de La Rochelle des convoitises anglaises. D'imposantes murailles, des gardiens prêts à faire feu à chaque instant, et la mer pour unique horizon, voilà l'univers du condamné promis à la transportation ou à la relégation


L'arriver des bagnards :



l'arriver des bagnards s'effectuer le plus souvent a la rochelle a la gare les bagnards était alors débarquer des train avec une grande escorte de gendarme les forçats était tout enchainer et marcher par colonne et traverser la rochelle , beaucoup de rochelais dessender dans les rue pour voire le spectacle des bagnards beaucoup en famille pour essayer d'apercevoir quelque personnage célèbre . la plupart des forçats était acheminer directement au bagne mais certain rester quelque jours a la prison de la rochelle elle se situe a coter du palais de justice actuel a coter des arcade . la plupart des bagnards aver peur car beaucoup de rumeur circuler certain se suicider et d'autre essayer de fuir mais toujours rattraper par les gendarme Français car le bagne était une sorte de condamnation a mort , une mort lente ...


Au début des années 1930, l'administration pénitentiaire se modernise et remplace les convois ferroviaires par le transport automobile …

Ce sont des fourgonnettes qui mènent les bagnards vers La Rochelle. Jusqu’au 16 septembre 1933, les forçats transitent par la Rochelle dans d’épouvantables conditions de transport.

Embarqués dans des wagons cellulaires de dix neuf places, les condamnés traversent la ville sous le regard, les huées des curieux, les questions des journalistes. A partir de cette date les fourgons permettent d’acheminer en 48 heures près de 400 forçats en 40 véhicules comme le montre la photographie ci-dessous.  




En attendant le départ, les candidats à la Guyane vivent presque confortablement dans les prisons centrales, auréolés du prestige du futur forçat qui impressionne leurs codétenus condamnés à des peines plus légères. Pendant des mois, quelque fois même des années, ils ont rêvé de ce départ pour la colonie qui leur ferait quitter pour toujours les murs de leur prison...

Dès que les futurs bagnards passent le porte du fort de Ré, ils entrent dans un autre univers ; celui des morts vivants. Ils n'ont plu d'existence légale en métropole. Déjà la société les a oubliés comme de vulgaires déchets dont on se débarrasse.

Souvent épuisés par des années de prison et les longs jours de voyage dans des conditions épouvantables, les futurs bagnards ont une bonne surprise : la nourriture est de bonne qualité et abondante au dépôt de Saint-Martin-de-Ré. En redonnant des forces aux condamnés, l'administration pénitentiaire espère leur faire supporter aussi bien que possible le long voyage vers l'Amérique du Sud. Ils ne sont pas astreints au travail, et seuls ceux qui se signalent aux gardiens par une conduite trop mauvaise sont enfermés en cellule. Les autres traînent leur ennui et leur oisiveté dans d'immenses chambrées... »

Deux grandes colonies pénitentiaires destinées au peuplement se développèrent alors rapidement : la Nouvelle-Calédonie et la Guyane. En un siècle, près de 100 000 hommes et femmes furent transportés dans ces contrées éloignées et hostiles. Nombre de ces forçats, qui étaient loin d'être des criminels chevronnés, n'avaient pas mérité de vivre un tel calvaire pour peupler la " terre de la grande punition ".

Beaucoup furent éliminés par la violence, par les travaux forcés dont témoigna Albert Londres, par le vice et la maladie. Et, parmi ceux qui purgèrent leur peine, peu revirent la France. C'est l'histoire de ces êtres, hauts en couleur, en turpitudes et en misère, que Pierre Dufour nous raconte ici. Aujourd'hui, les vestiges de ces bagnes, dans les îles du Salut ou à Saint-Laurent-du-Maroni, continuent à parler au visiteur : y subsistent encore quelques témoins qui entretiennent la mémoire orale de ces lieux de douleur, dans les bistrots de Cayenne, de Kourou ou de Saint-Laurent ...



La traversée de la Rochelle en vue de l'embarquement pour la citadelle de l'Ile de Ré sous escorte de gendarmerie






Les détenus portent parfois la tenue pénale réglementaire dans les maisons centrales. Le port des sabots étant partie intégrante de la tenue vestimentaire des détenus, l'évasion est rendue plus difficile pour la plus grande satisfaction des gendarmes qui assurent les escortes...

Tenue pénale plus visible sur le cliché ci-dessous



criminels, faussaires, déserteurs, récidivistes, bandits de tout poil soumis aux longues peines sont extraits de leurs celulles des maisons centraleset sont dirigés vers la citadelle de St Martin de Ré :









L'embarquement de deux forçats célèbres pour l'ile de Ré : A. Dieudonné et B. Deboë














Après une nuit à la prison de La Rochelle, les forçats embarquent pour Saint-Martin, à bord des bateaux à vapeur de la liaison régulière, l’Express, le Coligny, dans un premier temps au vieux port, puis à La Palice.

Le « Coligny », un antique bateau à aubes, et le vapeur l’« Express », les convoient jusqu'à l'île de Ré :

merci pour cette page d'histoire !!

Bonjour,
je n'ai rien concernant ce bagne, mais je mettrai quelques dessins du Second Empire concernant le bagne en général.
A l'époque c'était encore la "chaîne" qui emmenait les bagnards enchaînés et à pied, mis à part un trajet en bateaux sur le Rhône pour le bagne de Toulon.

Il y a un excellent exemple de chaîne au XVIII° siècle dans le film Justinien Trouvé ou le bâtard de Dieu.

Cordialement,
CG

re merci a tous pour vos commentaire et merci crevette d'etre toujours fidèle a mes post

Voici ces gravures des années 1850:







Les petits métiers du bagne:











Le bazar du bagne.

Vie et travail au bagne:









Une exécution au bagne.






Le bain des forçats.










Le départ pour Cayenne selon la loi du 2 décembre 1851:


Les bateaux qui ont transporté des forçats:





cf "Histoire des bagnes de P. Zaccone" 2° tome.

On peut remarquer que tous sont munis de la longue chaîne, que leur coiffure est une sorte de bonnet phrygien, qu'ils sont quasiment toujours en brodequins (parfois à semelle de bois, et à l'époque le brodequin était bas), et que certains portent un pantalon qui se boutonne le long des jambes et ressemblant à un charivari de cavalier.

Bonnet de bagnard:

Lui aussi porte un pantalon boutonné latéralement.
Le bonnet rouge différenciait les bagnards à temps des bagnards à perpétuité qui portaient un bonnet vert.
http://www.joiedesmots.com/bonnets-rouges-a103685904

Autres détails de leur tenue:
http://cagouille-icaunaise.pagesperso-orange.fr/bagnards/livre_bagnards_p026.htm

Plus ancien (1° Empire) et à Rochefort, et bien illustré:
http://capp.e-monsite.com/pages/chroniques/la-vie-au-bagne-de-rochefort-sous-le-premier-empire.html

re un grands merci a toi crevette pour tous sa les gravure sont magnifique j'adore dis moi tu as déjà visiter le bagne a Cayenne a se qui parer il ya encore la guillotine a l'entrer

Non, mais un membre de notre association est allé en Nouvelle Calédonie:
http://guerrede30ans.e-monsite.com/album/bagne-de-nouvelle-caledonie/
Le moustachu est le gardien des lieux, l'autre est notre ami.

http://guerrede30ans.e-monsite.com/album/nouvelle-caledonie-la-commune/
C'était pour commémorer les communards déportés en 1871.

ah oue c'est pire que les prison de maintenant la souffrance qui a du avoir dans c'est lieu est indescriptible

Tres surprenant le forcat bonne d'enfant

quand je vivais a la Martinique, j'ai acheter deux livres que tu dois connaitre  " Le bagne de  Cayenne " et "le grand livre des forcats"
j'ai longtemps chercher des CPA des coins du bagne, mais les tarifs m'ont fais reculer .

Encore quelques gravures des bagnes en général:

Quelques chiffres pour Cayenne:




Les punitions vont bon train!

Les journées de travail chez l'habitant sont très nombreuses, ça comprend surtout le travail à l'extérieur dans les plantations, mais aussi dans les habitations.

Et pour finir, l'argot des bagnes sous le Second Empire:

coucou crevette un grands merci ! impressionnant le dictionnaire et les gravure dis moi crevette les gravure sont fait main ?

Bonjour

j'ai visité il y a longtemps (1998) le bagne de saint Laurent (appelé camp de la transportation ) et celui des iles du salut.(l'ile royale). Pour celui de saint Laurent, La guillotine n'y était plus mais on pouvait encore y voir son emplacement dans la cour du quartier disciplinaire.

Les iles du salut, les bagnards l'appelaient l'enfer au paradis car les lieux sont enchanteurs, mais les conditions de détentions y étaient atroces.

coucou dany oui en gros c'est une condamnation a mort le bagne peut sont revenue sa m'étonne pas que les détenue essaye de fuir et surtout de se suicider mais pour la guillotine elle était juste a l'entrer car comme sa des que les nouveau arrivant voyer la guillotine il avait peur et surtout une exécution au bagne devait être regarder par tout les détenue soit tout les détenue était emmener dans la cours pour la regarder ou alors les gardien les forcer a les regarder via leur cellule

Oui, une gravure est gravée à la main, puis imprimée dans un livre.

Bonjour. Merci du partage. Je reside en guyane, dans une semaine je vais visiter les iles du salut en famille.

coucou oki de rien bonne promenade alors

Bonsoir

Pour avoir visité le camp  de la transportation et pour m'être intéressé un peut à l'histoire des bagnes de Guyane ,  la guillotine n'était pas  montée  à l'entrée du  bagne mais dans le quartier disciplinaire  qui est une enceinte fermé du camp. En fait le camp de la transportation à Saint Laurent du Maroni  servait de bagne mais aussi  de lieu de transit et de dispatching des détenus après l'arrivée du bateau comme le Lamartinière (ex Duala )qui venait s'amarrer au quai qui était  à proximité du camp.  

il faut savoir que la Guyane avait de multiples camps. Les plus connus comme celui de  Cayenne et de Saint Laurent  n'étaient pas les plus pénibles pour les détenus il y avait Charvin, Godebert le camp des annamites pour les colonies,  et bien d'autres.

Le film papillon bien que  romancé ,et qui  n'a pas été tourné sur les vrais lieux du bagne de Saint Laurent et des iles du salut  ,  représente  assez bien le milieu carcéral et les uses et coutumes des bagnards  en Guyane .

Pour l'histoire, les gens qui partaient en Guyane n'avaient quasiment aucune chance de revenir en France. Le système carcéral créé par la justice Française était impitoyable, et pour parler plus simplement la France  ne voulait plus entendre parler d'eux.

Pour les divers lieux de Guyane sous le Second Empire j'ai:
Iles du Salut, BT Kourou Ile Royale
Iles du Salut
Kourou
Ilet la Mère
Montagne d'Argent
Saint-Georges (Evacué en 1865)
La Comté (Evacué en 1860)
Pénitenciers flottants
Montjoly (Evacué en 1865)
Saint Laurent (Maroni)
Saint Louis (Maroni)
Cayenne et quartiers
Concessions de Hattes (Pointe française)
Ile du Diable

coucou crevette dis moi tu pence que il y avait combien de bagnards dans tout c'est bagne ? je sait que après la chute de la commune de parie en 1871 il ya eu beaucoup de communards des millier qui ont été condamner au bagne dont louise Michelle mais dis moi crevette je vois souvent condamner au galère mais c'est quoi les galère ?

Après 1866 je n'ai aucun chiffre.
Avant 1866 c'est en gros 6 à 8000 bagnards en Guyane.

Pour les galères, c'était sous Louis XIV et avant.
François 1° voulait fortifier sa marine et décréta que tous les condamnés à mort vaillants et tous les autres condamnés également vaillants seraient affectés aux galères (hormis ceux condamnés pour hérésie et lèse-majesté).

Colbert renforça encore la chiourme en 1662 et fit convertir parfois la peine de mort en peine de galères.

En 1676 la chiourme s'élevait à 4710 rameurs, mais la mortalité y était énorme, il fallait toujours plus de rameurs.

En 1562 sous Charles IX on notait des esclaves turcs, des "russiens", et les meilleurs: les guinéens.

Les esclaves turcs se vendaient très chers (4 à 450 livres chacun) car ils étaient forts et insouciants.

En 1684 ce sont des iroquois qui y sont envoyés, il était facile de les tromper et de les capturer!
Ils furent renvoyés chez eux en 1689 sur ordre de Louis XIV, suite à la guerre d'extermination menée au Canada par ceux qui y étaient restés.

Certaines peines en théorie limitées à 4, 5 ou 10 ans duraient en fait plus de 70 ans au XVII° siècle, on oubliait simplement de les libérer!
Des rameurs condamnés en 1600 étaient toujours présents en 1676 malgré leur courte peine.

Certains furent tout de même libérés, les invalides et ceux qui s'étaient fait remplacer par des turcs, mais 2 ou 3 dizaines au plus.

L'esclave turc était au galères à perpétuité.

Au XVIII° siècle, les galères devinrent inutiles, supplantées par la marine à voile.
La philosophie du siècle fit également hâter leur fin.

En 1748, les 4000 galériens subsistant furent répartis entre les arsenaux de Toulon, Rochefort et Brest pour des travaux à terre principalement.
L'institution des galères disparut cette même année.

cf le même livre.

coucou crevette merci a toi pour ces renseignement et ton grands savoir sinon en 1792 après la répression des suisse de château vieux une partie de c'est suisse avait été condamner au galère non ?

En 1792 il ne devait plus exister de galères, les dernières ayant existé jusqu'en 1748 seulement.