Fourbisseur VAMIER

Bonsoir à tous,
Je cherche des informations sur ce qui pourrait être un fourbisseur de l'époque révolution- empire dont je n'ai jamais entendu parlé. Il s'agit de VAMIER (ou Vanier) dont la signature est sur le dos d'un sabre de bord, probablement fin XVIIIème. Si quelqu'un a des informations, je suis preneur!



Merci à tous
Stef

Bonsoir,

il s'agit de Vanier et Compe.

Cordialement

poddichini a écrit:

Bonsoir,

il s'agit de Vanier et Compe.

Cordialement

Merci Poddichini!
Avez vous des informations sur ce fourbisseur?
Stef

Je regarde...

A part des ventes terminées aux enchères sur plusieurs sites, rien de concret à apporter.

poddichini a écrit:

A part des ventes terminées aux enchères sur plusieurs sites, rien de concret à apporter.

Effectivement... Ils disent VANIER mais avec la typographie de l'époque il me semble plutot lire VAMIER non?
Stef

Bonsoir
Ne serait ce pas VARNIER fournisseur à Paris à la fin du xviii?
Bonne soirée

Je ne trouve rien avec Varnier et Compe.

Voici un lien sur une vente de Drouot
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On y voit bien la signature malheureusement aucune explication

D'accord merci. Varnier et Compagnie ?

Un sabre ici sur le forum, mais le marquage est ailleurs que sur la lame :

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Autre évocation ici :

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Bonjour,
dans le Jarlier on trouve Varnier et compagnie (Comp.e), armurier et fourbisseur à Paris 1830. Ayant certainement exercé avant cette date je pense...

Fin 16ème siècle on note un Varinier (peut-être mal orthographié?), armurier fourbisseur de la ville de Paris (dictionnaire des artistes français du XIIème siècle)

CAVE CANEM a écrit:

Bonjour,
dans le Jarlier on trouve Varnier et compagnie (Comp.e), armurier et fourbisseur à Paris 1830. Ayant certainement exercé avant cette date je pense...

 

Bonjour,

C'est ce qui est indiqué dans un des liens plus haut.

Cordialement

Bonjour,
avec l'appellation Varnier uniquement on trouve pas mal de productions datant de la Première République. Contrairement à ce qui est marqué dans le lien pré-cité, je ne vois pas marqué de Vannier fourbisseur vers 1800 dans le Jarlier, mais uniquement comme je le citais, Varnier et compagnie vers 1830. Ce marquage semble indiquer un passage en société peut-être plus tardif que les productions de la fin du 18ème...

Bonjour,
Merci pour vos recherches!
J'ai retrouvé la description du lot de Drouot (les 2 sabres). C'est bien un sabre modèle 1833, ce qui confirmerait que Varnier et Compe a officié postérieurement
"Sabre d’abordage, modèle 1833, seconde moitié du XIXe siècle.Garde entièrement en fer noirci à la poix, coquille pleine constituée d’une tôle d’acier, avec poinçon de contrôle illisible recouvert par la peinture. Calotte et poignée en bois de coupe octogonale gainées de tôle. Lame à un pan creux, ancre gravée en biais, dos marqué « Varnier et Compe ». Fourreau en cuir à deux garnitures de laiton, chape à pontet. (Lame déformée par une pliure, état oxydation d’usage, chape du fourreau non du modèle). Longueur : 81 cm."

par contre

Dans belle vente de De Maigret d'armes de Marine il y avait le lot n°499, marqué par erreur VANIER. Dans la description "l'expert" parle d'une lame de modèle 1811 et d'un fourreau 1809...

Compe ce n'est pas un nom mais le diminutif de compagnie. Dans la première photo de ce sujet, on voit bien un point (petit cercle) sous le e terminal plus petit que les autres lettres.

Il est quand même étonnant de n'avoir rien ou quasiment rien comme élément au sujet de cette expression. Gallica ne m'aide que peu sur ce point.

CAVE CANEM a écrit:

Compe ce n'est pas un nom mais le diminutif de compagnie. Dans la première photo de ce sujet, on voit bien un point (petit cercle) sous le e terminal plus petit que les autres lettres.

Oui CAVE CANEM c'est clair sur les 2 photos!
Les 2 typographies sont vraiment différentes mais sont toutes les deux sur des lames de sabre de bord type 1833 ou 1811...

Bonsoir,

quelqu'un a-t-il pu collecter davantage d'éléments au sujet de l'histoire de cet homme ?

Cordialement

Mon cher Poddichini, j'ai l'impression que l'on sait encore moins de choses sur lui que sur Dida à Bordeaux...
Stef