bonjour
je charge Arthur de voir ou cela sera le mieux
Couteaux de l’armée française
Le poignard de marine modèle 1833
Ce poignard de la marine française est appelé poignard 1833 ou de matelot mais en faite il voit le jour en 1837 (5 ans entre la décision et la fabrication d’ou une certaine confusion).
Il fut appelé 1833 car il a été prévu dans la dotation des navires depuis 1833 comme le sabre « cuillère à pot » de1833.
Il fut attribué a tous les navires de guerre a raison en général de 200 poignards par navires.
Sa fabrication a été confiée à la manufacture de Klingenthal d après beaucoup d ouvrage.
Mais il semble que ceux-ci on était vérifier par les contrôleurs de Klingenthal mais fabrique à Châtellerault
Il a été fabriqué au nombre de 23931 pièces entre 1837 et 1851.
Ce poignard fut en dotation jusqu en 1872.
Il fut donc retirer et ranger dans les arsenaux de la marine.
Au début de la 1 guerre le 20 octobre 1915 on transfert 10500 poignards de la marine à l armée de terre pour équiper les poilus dans les tranchées.
Ce poignard a donc double valeurs pour les collectionneurs (marine et ww1) d ou une profusion de faux (que nous allons voir comment éviter)
Le poignard de marine
Dimension
Longueur total 299 300 mm
Lame 170
Largeur 18 mm
Epaisseur 9 à 9,2 mm
Poinçons que doit avoir la lame un B (du contrôleur bisch joseph) 2 modèles (le B est toujours en relief)
De plus au démontage on ce rend compte que la soie est forgé (et non juste découpé)
Et l assemblage garde lame est parfait
Poinçons que doit avoir la garde un W (du contrôleur widemann) 3 modèles (le W est toujours en relief)
Model w dans un cercle de 1830à 1836
Model w surmonté d une étoile dans un écusson de 1838 à 1843
Model w surmonté d une étoile dans un ovale après 1843
Sur la garde on retrouve parfois l ancre de marine mais jamais câblé
Le manche tronconique est toujours en hêtre noirci (qui est souvent passé) diamètre de 20 à 28.5 mm
L’écrou est toujours en acier
LES FAUX
L écrou est souvent en laiton
La lame est souvent plus large.
Les poinçons sur la lame n’existent pas
Sur la garde l’ancre est câblée
Sur la garde des poinçons avec B ou E et des étoiles (souvent en creux)
Poignard de marine 1833 + couteau de marins
En 1914, l’équipement du soldat de ne comportait pas de couteau.
Lorsque débuta la guerre de tranchées, on s'aperçu très rapidement que le maniement du fusil prolongé de sa longue baïonnette, posait un problème lors des combats au corps à corps. Le couteau de combat devint donc très vite une nécessité.
En mai 1915, l'armée décide l'achat de 150 000 couteaux à cran d'arrêt : les navajas. Ils se révèlent rapidement inadaptés à la tâche qu'on leur demandait, aussi ne furent livrés que 48 816 exemplaires.
Les couteaux de bouchers
En juillet 1915, on décida de doter les troupes de couteaux de boucher de fabrication civile, distribués dans un étui en toile à bâche militaire
Les poignards de Chatelleraut.
Ces poignards sont souvent aussi appeler les poignards coutrot du non lieutenant-colonel qui a permit la fabrication de ceux-ci
A Châtellerault le lieutenant-colonel ce rend compte qu il y a un rebus de lame de baïonnettes lebel.
Il propose donc la fabrication de plusieurs poignards.
Pour cela il se fait aider par deux industriels
L usine CHERON VOGT et CIE (C.V)
L usine GEORGES PAGE (G.P)
La fabrication est donc lancé après avoir fait démobilisés les ouvriers qui étaient à la guerre.
Une confusion dans les commandes et les réalisations des différents modèles fait que certains poignards ne sont restés qu au rang de projet.
Nous allons voir ici les fabrications qui ont vu le jour et que l’on peut trouver ailleurs que dans les musées (dans les musées on peut voir souvent des exemplaires uniques)
LE MODELE N°1 :
Fabriqué à 30 800 exemplaires (15800 pour C.V et 15000 pour G.P)
Il est fabriqué avec la base de la lame de baïonnette lebel riveté sur un manche avec garde acier en forme ovale
LE MODELE N°1 BIS :
Fabriqué à 21 800 exemplaires (16800 pour C.V et 5000 pour G.P)
Il est fabriqué avec le milieu de la lame de baïonnette lebel riveté sur un manche avec garde acier en forme ovale
Celui-ci n était pas prévu au début et c est en cours de fabrication que l on ce rend compte d une possible production
LE MODELE N° 2
Fabriqué à 16 900 exemplaires (6900 pour C.V et 10000 pour G.P)
Il est fabriqué avec la pointe de la lame de baïonnette lebel .la lame est riveté et le manche fait office de garde
LE MODELE N° 2 bis
Aucun chiffre de fabrication .il semble que quelque pièces fut fabriqué en essaie ou suite a erreur de montage (en cas de guerre tous est permis)
La lame est rivetée et le manche fait office de garde
Pièce plus rare que l on ne rencontre pas souvent
Poignard 2 bis poignard 2 dans son fourreau poignard 2
LE MODELE N° 6
Fabriqué à 100 00 exemplaires (55 000 pour C.V et 45 000 pour G.P)
C est le 1 poignard fabriqué entièrement. Il reprend le manche et garde du n° 1 la lame est riveté
Poignard n 6 + poignard artisanal avec bout de baïonnette lebel
LE MODELE N 7 et N 8
Une faible fabrication de présentation (estimé a une centaine de pièces) qui a été distribué au officiel pour démonstration.
Ces 2 pièces ne furent pas retenues du fait le l arrivé de la fabrication des VENGEUR de
THIERS
Poignard 7 et 8
Poignard Bourgade -
modèle 1892 -
La Roumanie a commandé ce poignard à la manufacture d'armes de Châtellerault. Mais suite à l'invasion de la Roumanie par les troupes germano-bulgares, la livraison n'a pu se faire. Les pièces détachées ont donc été envoyés à Thiers. On trouve donc ces poignards avec différents poinçons de couteliers de Thiers.
Dague serpent HENRI-CAUX
Sûrement le poignard 14-18 le plus rare et le plus recherché.
Ils furent fabriqués par les établissements CAUX situé dans le Pas de Calais à Hesdin.
A l’origine cet établissement fabriqué des articles en fil de fer et la fabrication de poignards a eu lieu que pendant la première guerre mondiale.
On y fabriqua de simple poignard tous acier « le clou » notamment commander par l armée, il s’agit de simple poignard fabriqué à partir d une barre de fer ronde de diamètre 13 mm environ .L’extrémité était forgée en forme de feuille de saule pour donnée la lame
La poignée était faite en repliant la barre sur elle-même.
Henri-Caux améliora celui-ci en améliorant la poignée avec une troisième branche. Puis il améliora forme de la lame.
Ses plus belles créations de luxe furent les dagues à tête serpent.
La tête du serpent est d une magnifique finesse, elle possède même sa langue et deux crochets. Le corps du serpent est décoré d écailles et peu avoir une inscription type « souvenir de guerre »
Voici un poignard civil de fabrication Manufrance
Poignard "prime" dit encore
"D’exportation" de la MANUFFACTURE
FRANCAISE d ARMES et CYCLE de
Saint Etienne : la poignée est en fonderie
D’aluminium et la lame est constituée par l'extrémité de la baïonnette modèle 1874
Dit "GRAS"
Poignard "prime"
Poignard de tranchée ou de poilus fabriqués avec l'extrémité d une baïonnette
GRAS
Le vengeur ou poignard model 1916 fabriqué a Thiers
Le poignard vengeur fut proposé en octobre 1915
Il fut fabriqué à partir de 1916 mais la table de fabrication fut écrite que en 1924
Elle prévoyait un marquage de n°
Comme on retrouve très peu d exemplaires numéroté on suppose que la fabrication de stock était déjà faite avant cette date
On ne retrouve aucun chiffre de commande officiel total ni par fabriquant donc mystère
Une chose sur c est que les 1 modèle étant sans virole le bas de manche avait tendance a éclaté : donc les poignards avec virole son ceux fabriqué dans deuxième temps suite a une amélioration
Tous les vengeurs doivent avoir le poinçon B sous une étoile le tout surmontant un arc de cercle (l’étoile manque parfois)
car c est le poinçon de réception de l armée
Le vengeur fut distribué en 14-18 puis en 39-45.
Une partie fut saisie par les allemand mais il en resta encore puisque certain furent distribué en Algérie
Voici la liste complète des fabricants
1) M (la lettre M fabricant inconnu)
2) 76 (besset-mure de Thiers)
3) 8(horizontal suivit de)CHABROL
4) LE VENGEUR DE 1870
5) L.PRADEL (écrit horizontalement)
6) ASTIER-PRODON (frappé en arc de cercle avec au dessus d un trèfle)
7) COUTELLERIE 31 BESSET THIERS (frappe dans un double ovale)
8) PATAUD (écrit en arc de cercle)
9) PATAUD THIERS (pataud écrit horizontal avec tiers écrit en dessous)
10) BOURGADE (le non du fabricant constitue la natte d un chinois)
11) DELAIRE (dans un écusson armorié à 2 pointes en diagonal DELAIRE)
12) une fleur de lys surmontant la mention DEPOSE (marquage simplifier de délire)
13) SGCO (dans un cartouche rectangulaire à 4 coins arrondis)
14)41 GONON (le n° 41 surmontant l inscription GONON frappée en arc de cercle)
Poignard allemand 14-18 oppose au fameux vengeur français
Les poignards des jeunes des chantiers de jeunesse. (39-45)
Il s’agit d un poignard type scout à large lame et poignée coulé en aluminium.
Longueur 262 mm fabriqué par Sabatier installé à Monnerie-le-montel (puy de dôme)
Il est dans un fourreau cuir fauve avec un passant simple pour le ceinturon et une languette pour tenir le poignard (souvent absente)
Modèle 1
Lame en acier carbone avec une gouttière en navette
Marquage (illisible sur celui-ci) sous la gouttière
GARANTI au dessus de la grappe de raisin
Sabatier jeune
DEPOSE au talon de la lame.
Modèle 2
Lame en acier inoxydable
La gouttière est plus longue mais assez large.
Marquage sous la gouttière
Inoxydable au dessus de la grappe de raisin
Sabatier jeune
DEPOSE au talon de la lame.
Modèle 3 après guerre vendu comme couteaux de scout
Identique au 2 mais avec une longue et fine gouttière
Fourreau civil.
Modèle 4
Le 3 modèle fut Réédition en 1998 avec le marquage C.J.F. au talon.
Le fourreau est identique mais en cuir lisse.
Il fut fabriqué comme souvenir pour les anciens des chantiers de jeunesse.
Le hussard ayant retrouvé un stock de gaine d’origines les a vendu avec dans l’années.1999-2000
Les poignards des cadres des chantiers de jeunesse. (39-45)
Un poignard de cadre de chantier de jeunesse pièce fabrique comme le couteau des jeunes par Sabatier à la monnerie-le-montel (puy de dôme)
La lame est en acier carbone de forme bowie garde laiton pommeau d aluminium et poignée de cerf
On parle de 2000 pièces pour le couteau avec chacune 2 fourreaux 1 cuir pour tous les jours et un blanc pour les cérémonies. (fourreaux fabriqué à Ydes dans le cantal) .
Le poignards de cadre avec son fourreau blanc et la boucle de ceinture 1 model
Détail du tampon de réception au dos
1 modèle de la boucle de ceinture réservée aux officiers pour les cérémonies. le commandement « jeunes toujours prêt » emprunté aux scouts est aussi utilisé pour remplacer le « garde à vous »
Poignard s des cadres de l armée de l air
L armée de l air est crée en 1922.
Le Général Bares chef d’état major général de l armée de l air décide la création d un poignard
L arme de parade choisi est de forme épuré toujours en service de nos jour
Poignée blanche pour les officiers
Poignée bleu pour les sous officiers
En 1979 toutes les dagues sont fabriquées avec une poignée blanche et la différence de grade se fait avec la dragonne.
Les poignards indo-algerie
En Indochine la France utilisa le reste des us m3 américain laisser en stock par les usa
Par contre il semble q un model si dessous fut fabrice pour les commandos dans un atelier en Indochine
De même forme que l usm3 mais avec plaquettes bois (le cuir de la poignée de lusm3 ne résistant pas au parasite et a l humidité)
De nombreux combattant réalisèrent eux même leur poignards soit totalement soit en retaillant des baïonnettes
USM3 BOIS- POIGNARD FABRICATION LOCAL BAIONETTE US 17 RETAILLE
Poignard de fabrication local en Algérie
LA DAGUE COMMANDO
La dague commando fut crée en 1953 par LOUIS HENRION (ancien du 11 choc et moniteur de close combat) en s’inspirant de la dague du 3 type, l avantage est l’écrou qui permet de rattraper le jeu ou de changer la lame
Un premier contrat fut passé avec l’armée pour des dagues f.o.m. (identique sauf le marquage) pour les forces outre mers, ainsi qu’avec la marine pour la fabrication d une dague baïonnette. (Les 2 sont avec fourreaux fer 1 modèle uniquement pour l’armée)
Par la suite LOUIS HENRI démarcha l armée pour d autre contrat, celle-ci ne donnât pas de suite.
L’armée commanda quand même par la suite un stock de dague commando qui fut distribué en Algérie (avec fourreaux fer 2 modèle)
Cette dague fut achetée à titre personnel par les militaires et les appelés en Algérie dans les foyers (souvent avec fourreau cuir)
Apres 1964 la fabrication fut reprise jusqu en 1974 par la société dussaussay-galtier et fut vendu par correspondance ainsi que dans les armureries (on en trouvait encore en 1978)
La fabrication fut de 500 dagues baïonnettes légèrement plus de 2000 pour la dague f.o.m.
Et 200 000 pour la dague commando .Celle ci existe aussi avec une lame noire
Pour les fourreaux fer 1 modèle de l’armée la fixation de la patte qui retient la dague dans son fourreau étaient devant et souder
Pour le modèle civil (quand même acheter en lot par l’armée) la fixation de la patte était par des rivets à l’arrière
Pour la fabrication des fourreaux cuir les 1 modèles n n’avaient pas la fixation arrière pour le port à la botte
Pour les 2 modèles la fixation apparaît mais les 1 et 2 modèles possèdent la bouterolle en laiton
Pour les 3 modèles celle-ci fut remplacée par une bouterolle en plastique
Dague fumacos pour usm1 dague commando lame noir
Dague commando fourreau cuir
Dague civile utilisée en indo et algérie
Beaucoup d appeler et de militaire achetèrent eux même leurs poignards soit en armurerie ou par l’intermédiaire des foyer de soldats
Le poignard véritable SAS copie de la dague anglaise ww2
Le poignard BAROUD
Dague djinn
le poignard beret vert
Le béret rouge 1 modèle
Le 2 modèle a vu un talon apparaître pour le bloquer dans le fourreau
Le 3 modèle le manche est devenu plus gros pour une meilleure prise en main
Le 4 modèle .le manche est en plastique pour éviter les problèmes de chaleur
Un model de Luxe avec son manche en rondelles plastique et cuivre
113 de luxe - para
les poignards coustra
Le modèle 113 (manche rouge) a été déposé par robert springer en 1956. (Fabriqué sous la marque coustra)
Ce qui nous ferais une production de ses différent modèle de 1956 à 1962 (le modèle para est apparu en 1960) soit 6 ans.
Toutes les pièces étaient forgées main .
J ai déjà eu plusieurs échanges téléphoniques avec lui,
Il m a confirmé les choses suivantes
La coutellerie à Strasbourg était a coté de l hôpital .De ce fait ans l utilisation des marteau pilon poser problème. C est pour cette raison qu il l’a vendu à son apprenti .Puis il est parti s installé dans petit village des environs. A ce moment il n a plus forgé à la main, les lames étaient découpé directement.
Le modèle 113 lame carbone à manche fibre rouge fut bien le 1 modèle .plusieurs militaire venaient directement l’acheter sur place. C est ainsi après échange avec eux il décida de créé le 113 de luxe
Mais celui-ci n eu pas eu l’accueil escompté .La forme de la lame ainsi que la garde et lame séparé n’emballer pas son monde.
Suite à ses remarques il a créé le modèle para qui lui eu un très grand succès (ces pièces étaient encore fait mains à Strasbourg
Une fois la guerre d’Algérie fini ce fut une autre époque comme il dit
Les poignards main était devenu trop chère et moins de vente
Il déménagea à cette époque et la production fut industrialisé les lames était découpé directement dans l’acier (plus de forger)
Par la suite la fabrication de couteaux fut abandonnée et il se tourna vers la fabrication de machine outil de coupe.
Le poignard baïonnette modèle 1956 et le poignard baïonnette Famas
Apres la guerre d Indochine fut crée un poignard baïonnette pour le fusil mas 36
Il y a 2 model :
La différence étant la longueur du contre tranchant
1 model contre tranchant long
2 model contre tranchant court
Pour le Famas le poignard baïonnette est du même type
Famas en haut mas 36 2 model en bas
Poignard pilote d avion
1) « dit crève dinghy »
Afin de faire face à un gonflement accidentel du dinghy de secours dans les cockpits des chasseurs, les pilotes furent dotés d’un couteau, pour le crever rapidement
Le poids d un tel couteau doit être réduit et sa fixation solide, car en cas d’éjection sa masse est x par 7
Celui-ci fut adopté en mars 1953 pour le personnel volant
2) poignard de survie de l aéronavale
La société cavalero propose à la marine national, un petit poignard de survie pour le personnel de l aéronavale, volant en cabine étroite.
Gaine en cuir fauve
Marquage M.N (fabrication 2000 exemplaires)
3) le même modèle a été adopté par A.L.A.T. comme couteau coupe sangle pour équiper le personnel navigant des régiments hélicoptère de combat (5000 exemplaires)
Identique au présent mais marqué ALAT
Le fourreau est en cuir vert olive avec 2 plaques d acier inox (une devant 1 derrière et recouvertes de cuir) en renfort au bas de la gaine
Possibilité de port a la jambe
Poignard kastinger
La firme kastinger fut crée en 1991 et est installé à chamonix.
Elle produit des équipements militaires pour l’armé français et autre.
Suite à ses contacts dans le milieu militaire et vu la qualité de ces produits la société réalisa des petites séries de couteaux personnalisés pour différentes unités
Ces couteaux furent achetés sur des caisses à part et le plus souvent personnalisés grâce a une gravure correspondant à l unité
Les premières fabrications furent sous traitées à un fabricant italien (FOX) entre 1994 et 2001
Ce poignard ressemble à USM MK2
Epais pommeau circulaire en acier tendre permet la gravure
La poignée est en palissandre tournée et creusé de 5 cannelures
Garde en acier sablé
La lame est en acier 440 finitions satinées mates
Il existe 2 variantes de fourreau
Le 1 cuir
Le 2 en matière synthétique plus légère et plus robuste
Les 2 possèdent une petite poche avec une pierre à aiguiser
Différent unités on commander ce poignard comme
5 compagnie 4 R.I.M.A
3 REI (800 exemplaires fabriqués)
2 REP (500 exemplaires fabriqués)
1RHP
LES COMMANDO MARINE (moins de 350 exemplaires fabriqués reparties dans les différentes unités)
POIGNARD SOUVENIR
Ce poignard a été fabriqué par BALP et par France –Lames
Il est constitué d une lame de baïonnette MAS-56 (en inox) et d une poignée de sabre de Marine Modèle 1957
La garde est plate dans le style du poignard des cadres de l armée de l air
Ce modèle fut fabriqué pour les départs en retraite de militaire sur commande
poignard de plongée fabriqué et forgé main par Robert SRINGER pour les nageurs de combat de l’armée française (contrat direct pour 40 pièces)