Épée de pompier

Aujourd'hui, j'ai apporté deux épées. Pas tout à fait une option fréquente - un agent des incendies. D'un lieu et probablement d'une seule personne (il a vendu par le feu également un pompier d'une petite ville du sud de la France). Ce qui est très intéressant, c’est le fait qu’un ensemble d’épées d’un officier subalterne et supérieur soit immédiatement. L’épée de l’officier junior est fabriquée dans le style typique de l’échantillon de 1816 et la plus ancienne dans le style arbitraire caractéristique de la restauration Bourbon et jusqu’à la révolution de Juillet.

Beau !
Etant pompier ce sont de belle pièces.
De temps en temps, avoir un peu de civil au milieu du militaria fait du bien !
L'artilleur

Merci pour le commentaire, cher collègue, mais vous vous trompez!



A Paris, les pompiers n'étaient pas des civils.




En février 1810, un corps de garde du palais de Saint-Cloud, en surchauffant un poêle, met le feu au salon de la résidence de Napoléon Ier qui est présent cette nuit-là. Bien que le feu soit rapidement éteint, l'Empereur décide de créer une garde de nuit spéciale à toutes les résidences impériales, garde composée de sapeurs du Génie et transformée le 16 juillet 1810 en compagnie de sapeurs du génie de la Garde impériale6. À la suite de l'incendie de l’ambassade d’Autriche qui cause la mort d'une centaine de convives le 1er juillet 1810, l'Empereur charge le ministre de l'Intérieur et Étienne-Denis Pasquier, préfet de police, de trouver une nouvelle organisation pour remplacer le corps des gardes pompiers. La proposition d’une formation militaire est retenue et officialisée par décret impérial du 18 septembre 1811 qui crée le Bataillon de sapeurs-pompiers de Paris.

Il s’agit d’une unité militaire à part entière qui relève du ministre de la Défense.