le Forum Passion-Militaria PassionMilitaria, n°1 en langue française dans le monde ! |
|
| le concours d'été, Les Votes | |
|
+16sauvagine cleeclee FabVader HOM2BAZ schmeisser03 roro771089 Appollon Cernunmos Eagle bigrar christophe59400 Caporal44 eric77 julien30 Klaus Von Othioten montagnard25 20 participants |
quel texte choisissez vous? | texte n°1 | | 11% | [ 6 ] | texte n°2 | | 2% | [ 1 ] | texte n°3 | | 9% | [ 5 ] | texte n°4 | | 4% | [ 2 ] | texte n°5 | | 5% | [ 3 ] | texte n°6 | | 2% | [ 1 ] | texte n°7 | | 16% | [ 9 ] | texte n°8 | | 5% | [ 3 ] | texte n°9 | | 24% | [ 13 ] | texte n°10 | | 18% | [ 10 ] | texte n°11 | | 4% | [ 2 ] |
| Total des votes : 55 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
---|
montagnard25 Ici, c'est chez moi !
Nombre de messages : 4597 Age : 28 Localisation : morteau (haut-doubs) Thème de collection : francais ww2 et indo Date d'inscription : 06/07/2012
| Sujet: le concours d'été, Les Votes Dim 3 Aoû - 18:48 | |
| bonjour à toutes et a tous voici venu le temps des votes, vous êtes 11 à avoir envoyé votre participation. je vous rappelle le sujet du concours d'été 2014: -------------------------------------------------------------------- cette année, il faut raconter, à travers une photo d'époque ou d'aujourd'hui, l'histoire de la chose photographiée. Par exemple pour la photo d'un bunker portant les stigmates d'une attaque, raconter en un paragraphe l'histoire de cette attaque. -------------------------------------------------------------------- je vous invite donc à voter pour le texte/photo qui vous plaît le plus . à l'issue des votes, les 3 premiers ce verront récompensés d'un lot vous pouvez voter jusqu'au 17 août suite à l'allongement de la période d'inscription merci à tous cdlt, valentin et le staff cliquez sur spoiler pour voir le textetexte n°1: - Spoiler:
"Alors qu’à Paris la Révolution éclate, le petit Marien Lebouchard est dans sa première année. Loin de la fièvre parisienne, le jeune homme grandit dans son Limousin natal où il fait carrière de scieur de long. La lutte contre les monarchies européennes le rattrape en 1811 quand ses talents sont mis à disposition de la Grande Armée. Marien devient alors Ouvrier Militaire de Marine au sein du Bataillon du Danube. Si en général les Ouvriers de Marine sont chargés de reconstruire la flotte perdue à Trafalgar, le Bataillon du Danube a la spécificité de suivre l’armée en campagne pour tenir lieu d’unité de pontonniers. En févier 1812, le Bataillon part en campagne, direction Dantzig puis Vilnius avec un double approvisionnement d’outils, une vingtaine de caissons et une forge, le tout tiré par 120 chevaux de la compagnie du Train… La Grande Armée marche sus à l’Empire des Tzars ! Après une progression éprouvante, les hommes du Bataillon participent à la sanglante victoire de la Moskowa qui ouvre à Napoléon les portes de Moscou. Mais une tragédie sans pareil va frapper ces hommes venus de loin : l’incendie de la capitale russe, la retraite, l’hiver précoce et enfin l’arrivée devant la Bérézina, fleuve infranchissable charriant des blocs de glace… Les Russes tiennent l’armée française au piège et comptent bien l’anéantir, c’est sans compter les pontonniers français qui se jetant dans l’eau glacée (la plupart en périront) établissent des ponts sur le fleuve et offrent une issue à l’armée française. Parmi ces pontonniers, les Ouvriers de Marine sont à l’œuvre sous le commandement du général Chasseloup. Les ouvriers se replient vers l’Ouest, ils repassent devant Vilnius qui les avait vus passer vainqueurs quelques mois plus tôt. Avec 1813 arrive le revirement de la Prusse qui déclare la guerre à la France, le Bataillon du Danube est dépêché pour défendre la place forte de Dantzig. S’en suivra un des sièges les plus durs du XIXe siècle, la garnison française commandée par le général Rapp ne capitulant qu’au mois de novembre. La garnison prisonnière est libérée en 1814, après l’abdication de Napoléon. Marien Lebouchard retrouve alors la quiétude de son Limousin natal. La paix retrouvée n’induit pas la stabilité du pouvoir, à Paris les régimes défilent au gré des révolutions, les républicains finissent par l’emporter. Marien lui renoue avec la vie de famille, il honore sa femme d’un fils et d’au moins quatre filles dont une petite Joséphine dont le prénom rappelle la gloire d’un temps révolu. Puis vient le temps du retour de l’Empire que Napoléon III rétablit. Le nouvel empereur cherche alors à honorer tous les braves qui ont servi son oncle en créant la Médaille de Sainte-Hélène : Marien est le seul de sa commune à recevoir cette récompense. C’est ainsi que le vieux soldat finit sa vie honoré par un régime qui reconnait le sacrifice de sa jeunesse, héros du Premier Empire il rend son âme à Dieu en 1870. Le régime napoléonien allait s’éteindre avec lui, une dizaine de jours après l’enterrement de Marien Lebouchard éclatait la guerre franco-prussienne qui allait sonner le glas du dernier empire français. La médaille quant à elle, resta à ses descendants et ne quitta jamais le petit village qui vit l’ombre de ses derniers jours."
texte n°2: - Spoiler:
Premières victimes de la guerre 1914 - 1918
Matin du 2 août 1914
Est de la France
44e RI
10 km en arrière de la frontière Allemande
Joncherey
Maison Docourt
La route du bois des Coupes
10 h
Mme Nicolet va à la source
Puis soudain aperçoit un casque à pointe:
Voilà les Prussiens!
Une sentinelle:
Aux armes! Aux armes!
Haltes là! Haltes là!
Échange de coups de feu...
Tombe mortellement blessés:
le caporal J.A.Peugeot s'affaisse devant la maison à 10 h 07;
le lieutenant de cavalerie A.O.Mayer 150 m plus loin d'une balle dans la tête,
Ce sont «officiellement» les deux premiers mort d'une guerre... qui ne commencera que le 3 août Le 2 me classe F.E.Pouget tombe sous les balles le 4 août à 12 h 15...
Et fera environ 10 Millions de morts européens
Honneur aux morts
Sources: L’Est républicain;le jour d'avant;Ville de Joncherey et Wikipédia.
texte n°3: - Spoiler:
8 juin 1944. Le message « Le chapeau de Napoléon est-il toujours à Perros-Guirec ? » message codé annonçant le soulèvement général, est arrivé en centre-Bretagne. Dans les campagnes et les maquis, c'est l'euphorie. Ce jour-là, sur les coups de midi, dix jeunes résistants FFI débarquent dans la ferme de Youenn Mével au village de Lamprat, en Plounévézel (petit village dans le centre-bretagne dans le Finistère). Youenn Mével, qui exerce également les fonctions de maire de la commune, est absent à ce moment-là. Le petit groupe, qui se retrouve sans chef, celui-ci ayant été blessé la veille lors d'un bombardement anglais visant la ligne ferroviaire à Port-de-Carhaix, sait qu'il trouvera chez les Mével le couvert. Les jeunes gens s'installent à table et déjeunent. La conversation est animée et joyeuse.
Soudain, une patrouille allemande en voiture surgit. Elle vient réquisitionner des charrettes pour transporter du matériel jusqu'à Rennes. Chez les résistants, c'est la panique. Ils tentent de se cacher. En vain. Seul Jean Le Manac'h, 20 ans, réussit à s'agripper aux parois de la grande cheminée. Il sera le seul rescapé du drame qui est en train de se nouer. Ses neuf camarades se retrouvent sous la menace de mitraillettes. Ils sont faits prisonniers et fouillés. Sur Eugène Léon, 24 ans, les Allemands trouvent un chargeur de pistolet. Le jeune homme tente alors de s'enfuir mais il est abattu d'une rafale dans le dos.
Les soldats fouillent méthodiquement la maison. Avant d'y mettre le feu à l'aide de paille et de foin. Le bâtiment, duquel réussit à s'échapper, sans être vu, Jean Le Manac'h, est entièrement détruit sous les yeux de l'épouse et des filles du fermier. « Voyez comme c'est beau ! », leur dit cyniquement un officier.
Les Allemands, entre-temps, ont appelé du renfort. Les huit jeunes hommes, ainsi que plusieurs autres personnes parmi lesquelles les membres de la famille de Youenn Mével, sont conduits jusqu'au bois de Coat-Penhoat, sur la route de Poullaouen, pour y subir un interrogatoire. Les FFI sont battus. Torturés. Avant d'être entassés, ligotés, dans un camion bâché qui se rend à Rennes. C'est à ce moment que commence leur insoutenable martyre. Ils seront tous pendus. Jean Le Dain (23 ans), au Moulin-Meur à un poteau téléphonique. Il est 21 h. Puis c'est au tour de Georges Auffret (23 ans), devant le café Harnais, route de Brest, à l'entrée de Carhaix. Marcel Goadec (22 ans) subit le même sort en centre-ville, rue de la Fontaine-Blanche, aujourd'hui rue des Martyrs. Le sinistre convoi poursuit sa route. Vers 23 h, au bourg du Moustoir (Côtes-du-Nord), les tortionnaires exécutent Georges Le Naëlou (22 ans). À La Pie, à mi-chemin entre Carhaix et Rostrenen, c'est au tour de Marcel Le Goff, (22 ans). Dans la nuit, à Rostrenen, les Allemands pendent Marcel Bernard (19 ans) et Louis Briand (18 ans). Il ne reste plus dans ce camion bâché que François L'Hostis (19 ans) qui aura vu mourir tous ses camarades au cours de ce périple barbare. Il subit son dernier supplice à Saint-Caradec, près de Loudéac, alors que le jour vient de se lever.
Chaque année à Lamprat et au Moulin-Meur, un hommage est rendu à ces jeunes hommes. À Carhaix, chacun d'entre eux a une rue à son nom. La photo représente l'endroit exact où a été pendu Jean Le Dain: De l'autre côté du pont face à la colline. Aujourd'hui une stèle a été érigée en souvenir de ces garçons.
PS: Cette histoire a été construite grâce à des témoignages recueillis par des collégiens du collège Beg-Avel de Carhaix dans un livre publié en 1994, qui traite de la Résistance en centre-Bretagne (Témoignages de résistants). J'ai rencontré il y a quelques années à Carhaix un ancien grand résistant aujourd'hui mort. Ce dernier avec son épouse ont été dans les premiers à résister sur la commune et a échappé de peu à la déportation (autre histoire). Ses coups sont mémorables. Il m'a confié que ce jour fatidique il avait rencontré ce groupe de jeunes, trop jeunes FFI. Ils étaient particulièrement bruyants et exubérants. Son groupe (plus expérimenté) avait préféré les quitter en leur conseillant de se disperser et de ne pas rester là. Il expliquait que la jeunesse et le manque d'encadrement de ces jeunes avait conduit à ce drame. Ils avaient paniqué alors qu'ils auraient parfaitement pu abattre cette patrouille allemande qui arrivait par là par hasard. La nouvelle du débarquement avait transcendé certains qui désiraient se lancer dans la résistance mais qui n'étaient absolument pas préparés à la vie de clandestinité comme eux.
texte n°4: - Spoiler:
Cpl Kenneth J Merritt de la 82nd Airborne 508pir
Différentes photos de soldat de la 82nd Airborne avec la présence de Kenneth. Différentes photos d’un soldat qui a participé au D-Day, Market Garden, les Ardennes. Ce grouping qui se compose de 9 photos avec la présence d’Armando Valdez de la compagnie « E » de la 508th prcht Inf, Lester D Tedford de la compagnie « H »mais aussi du cpl Kenneth Merritt de la Hq 1st.
Kenneth Merritt est né le 10 Aout 1923 à Warner dans l’État de l’Oklahoma.
Kenneth s’est engagé dans l’armée le 15 Octobre 1942 à l’âge de 19 ans sous le matricule 18161538.
Il servira tout au long de la guerre dans la 82nd Airborne du XVIII corps. Il effectuera les campagnes de la 82nd Airborne,Normandie, Hollande et Belgique et l’Allemagne.
Voici en détail le parcours de Kenneth tout au long de la guerre: Kenneth c’est engagé dans l'armée le 15 Octobre, 1942, à Fort Sill. Il a été affecté à la 508e Parachute Infantry Regiment ( 508th PIR ) . Le 508th PIR a été activé 20 Octobre 1942. En Février 1943, il est passés à l'école de parachutisme à Fort Benning , en Géorgie. Trois semaines plus tard, il devient un parachutiste qualifié. Après quelques jours de congé, le régiment est transféré à Camp Mackall , NC pour l'infanterie et de la formation avancée des opérations aéroportées . Il participe à des opérations de parachute et des manœuvres à grande échelle en Caroline du Sud et dans le Tennessee. Après les manœuvres du Tennessee, le régiment se rend au Camp Shanks , New York. Le 28 Décembre 1943, il embarque à New York à bord de l’USAT James Parker à destination de Belfast, en Irlande. En Irlande, ils sont formés pendant quelques semaines, puis transféré en bateau et en train en Angleterre. Après environ 17 semaines de formation, sauts de parachutage de nuit et exercices sur le terrain, il est prêt pour le combat quelque part sur le continent. Le 5 Juin, il y a eu un rapide briefing, il dit ces adieux et bonne chance à ces camarades. Juste avant de prendre l’avion, il apprit que la destination était la Normandie, en France.
Kenneth est décoré de la silver star argent pour héroïsme le 4 juillet 1944, alors que sont bataillon est sous le feu ennemie à la Cuiroterie dans la Manche, et dans le but d’équilibrer la puissance de feu le Caporal Merritt attaque la position allemande et la met hors de combattre grâce a des grenades. Cette action volontaire a permis au bataillon de maintenir sa ligne et repousser deux contre attaques ennemies. Le 17 Septembre 1944, il est alors parachuté en Hollande, Sergent HQ1 a ce moment là. Après des semaines de combats en Hollande, ils sont mis au repos en France à Sissonne.
Suite à la contre attaque des allemands dans les ardennes Kenneth est ces camarades sont rappelé sur le front. Dans la matinée du 18 Décembre 1944, la 508th PIR chargé dans des camions se dirigea vers Werbomont , un petit village belge . À la fin de 23 Décembre 1944, la 508th PIR a été déployé. La mission de la 508th PIR était de fournir un couloir de sécurité pour les troupes américaines.
En fin d'après-midi du 24 Décembre, la 508th PIR a été ordonné de se retirer de la position de combat principal. Le matin de Noël, la 508th PIR a été sollicité pour défendre une position. Le 7 Janvier 1945, la 508th PIR est allé sur à sive offen . Par la suite, la 508th PIR combattu par la ligne Siegfried fortement défendue, et la neige froide et profonde des Ardennes densément boisées rendent les combats encore plus difficiles. Le 10 Janvier 1945, Kenneth a été sélectionné pour un congé de dix jours aux États-Unis, et a raté les terribles mois dans le froid, la neige. Le 20 Juin 1945, il est retourné à Heddernheim .
Il servira 35 ans dans l’armée Américaine. Il est toujours en vie actuellement est viens prochainement pour fêter l’anniversaire des 70 ans du débarquement. Section 1 Plane #2 1. 1/Lt Edward A. Napierkowski (Platoon Ldr, MG) Living? 2. Cpl Kenneth R. "Rock" Merritt (LMG) Living 3. Pfc Kenneth E. Stevens (LMG) WIA Jun/Jul 1944 Living? 4. Pfc James E. Wilbur (Ammo bearer for Merritt) Living? 5. Pvt Frank J. Pesce (Ammo bearer for Merritt) WIA 7 Jul 1944 Died, 11 Jan 2001 6. Pfc Myron Lynn (LMG basics) (duplicates entry on Plane 7) KIA Jul 1944 7. Cpl Charles S. Atkins (Gunner, LMG) WIA Jun 1944 Living? 8. Pfc Joseph E. Atkins (Asst Gunner, Cpl Atkins) Died 21May 1997 9. Pfc George A. Luperchio (Ammo bearer for Cpl Atkins) (duplicate entries on Planes 7 and 8)WIA Jun/Jul 1944 Died 6 Jan 2001 10. Pvt James L. Lutton (Ammo bearer for Cpl Atkins) WIA 20 Oct 1944 Died 18 Mar 2001 11. Unknown (Service Co) ? 12. Unknown (Service Co) ? 13. Unknown (Medic) ? 14. Pfc Charles S. Teller (LMG) KIA, 7 Jun 1944 15. Pfc Lawrence Palmer (LMG, Messenger) Died, 5 Nov 1998 16. Sgt John Pavlich
Titulaire de la:
GOOD CONDUCT MEDAL: 16 Nov 1943
Silver star: 4 july 1944
COMBAT INFANTRYMAN BADGE: 6 Juin 1944
texte n°5: - Spoiler:
LE POMMIER DE CHURCHILL
Peu aprés la liberation un grand de ce monde a cette epoque, du nom de winston churchill fut invité sur le site de lancement de v1 a brecourt a coté de cherbourg , en arrivant au pied de ce monstre de béton et d acier , il fut surpris par l ampleur de ce site d'ou s envolait les bombes volantes sur l'angleterre et s'exclama "oh my god" et lacha la pomme qu'il tenait dans sa main .
Depuis ce jour un pommier c est élevé de terre la où churchill lacha sa pomme et ce pommier a pour nom "le pommier de churchill"
texte n°6: - Spoiler:
Il y a 70 ans, le 13 février 1941, Philippe Pétain rencontrait "Franco la muerte" à Montpellier. Deux vieux potes !! Pétain avait été nommé par le Président du Conseil Daladier (radical, centre-gauche), ambassadeur auprès de Franco à Burgos, en février 1939, alors que les troupes républicaines et Madrid, Valence, Alicante... résistaient encore.
texte n°7: - Spoiler:
[ « Une croix face au ciel »
Dans chaque histoire il y a des images, des visages. Derrière chaque visage, chaque image il y a des histoires.
Et quand l'histoire se perd aux confins d'un, ou de l'oubli, on se prend, nous, qui exhumons alors ces passages comme fossilisés à la postérité sur ces papiers glacés, à la recherche. Après celle-ci, ou par des découvertes du hasard, la vérité ressort comme arrachée à cette tombée en désuétude à laquelle elle était destinée. Et, soudain, le passage reprend une seconde vie, les visages et les images se meuvent : ils prennent vie. La petite histoire rejoint alors à nouveau la grande.
C'est ainsi, à partir de ces 9 x 14 cm de vieux papier photographique, au dos vierge ainsi sans légende, que je vous parlerai de deux morceaux de bois cloués l'un à l'autre. Si jusque là, la tentative vous parait étrange, j'espère que d'ici quelques lignes, il n'en sera plus rien, et que vous aurez trouvé dans ce passage désormais méconnu, une once d'interêt.
Je suppose que vous avez déjà deviné l'objet de mon sujet, si vous ne l'avez pas déjà vu, jettez votre regard à l'arrière plan, une croix s'érige alors au milieu de la photographie, son bas est peint à hauteur de la tranchée. Celle-ci anodine et sans fioriture ne semble pas à sa place. L'on peut en trouver de similaires au bord de toutes nos routes, que l'on soit du Nord ou d'Albi, de Brest ou de Chambéry, on les passe souvent sans même guère les regarder, sans même se demander ni quand, ni pourquoi elles ont été posées en des temps anciens à cette place. Jadis symbole d'une foi, celle-là deviendra pourtant symbole d'une guerre et d'une folie. Son origine s'est perdue mais son lieu en dit long, elle se situe au milieu du célèbre « Bois le Prêtre » connu pour avoir été au cours de la Première Guerre Mondiale, l'un des évènements les plus symboliques de la terrible guerre de position. On dénombre notamment dans les six premiers mois de celle-ci, de septembre 1914 à juillet 1915, près de 60 000 victimes dans moins d'un kilomètre carré. A l'endroit de cette croix, les deux blocs ennemis se font face au plus près, on compte là moins de 20 mètres les séparant.
« Je sais que vous pensez à toute minute aux deux grosses poutres entrecroisées d'un bois mal équarri et qui, - pendant combien de mois ? - sont restées entre eux et nous. Car, s'ils ont brisé les merveilles de Reims ; s'ils ont anéanti Louvain et Arras ; par contre, dans le bois Le Prêtre où plus un arbre n'a ses branches, nos ennemis nont pas abattu cette croix noire qui se détachait sur le ciel mélancolique de la Lorraine, cette croix toute simple et sans art, placée là jadis par quelques pénitents ou pèlerins venus on ne sait d'où, qui se dressait sous un continuel ouragan de métal, comme la preuve immuable que l'on ne bombarde pas un idéal, et que, le temple étant démantelé,il y a quand même et toujours la Foi qui tient. » écrira Jean Variot, combattant au 169ème RI, ayant consacré un livre à ces « grosses poutres entrecroisées »,
ou encore :
« la croix noire qui, au-dessus des tranchées, étend ses bras déchiquetés, comme pour une éternelle bénédiction...La croix des Carmes... Symbole sacré qui unit en ces lieux maudits, le destin des hommes au destin d'un Dieu... » par Albert Pillard, combattant au Bois également.
C'est que cette croix élevée en symbole fascine alors tant elle est l'objet de combats acharnés. On compte dans ces mêmes mois plus d'une centaine d'attaques, et de contre-attaques successives dont elle est l'objectif. Le futur Maréchal de Lattre de Tassigny, alors Lieutenant fut blessé à ses cotés.
Cette photographie témoigne du dernier jour de la croix à cette place. Puisque au pur hasard de mes recherches sur un site de vente assez spécialisé dans les cartes postales, je tombe sur une image qui ne me semble pas méconnue. Il s'agit en fait d'un cliché très similaire, édité à l'époque en carte postale. Je découvre en effet sur plusieurs éditions les personnages que nous retrouvons ici dans une position autre et un cadrage proche. Mon intêret se porte alors sur la légende qui sur toutes coïncide : il s'agit de la reprise, après de rudes combats, de la tranchée par les troupes françaises de la croix des Carmes, le jour du 8 juin 1915. Celles-ci trop fières de ce symbole arraché une nouvelle fois à l'ennemi décident de le déplacer dès le 9 juin jusqu'au cimetière de Pétant, sis en la commune de Montauville, non loin. Elle domine alors cette bute ou dorment pour l'éternité la casi-totatilé des soldats tombés à ses pieds. Jusqu'à la fin de la guerre le secteur du Bois le Prêtre sera encore le lieu de combats, mais aucuns n'égaleront la violence et l'acharnement qui y régnèrent auparavant. L'histoire de notre croix se s'arrête néanmoins pas ici, elle est l'objet en 1920, alors que la paix s'est de nouveau installée en Europe, d'un nouveau déplacement. Elle retourne alors vers son lieu d'origine, devenu un haut lieu de mémoire, ou elle est enchassée à l'intérieur du monument portant son nom. Depuis près d'un siècle plus tard, Bois le Prètre a repoussé, les vestiges se fondent peu à peu dans la masse redevenue verte, mais rejaillissent parfois.
La croix, quant à elle, n'est plus. Le temps aura fini d'achever, ce que la guerre même, n'a su détruire.
Merci aux sites pour les précieuses informations que j'ai pu glaner : http://jmpicquart.pagesperso-orange.fr/ http://www.tourismeloisirs-perehilarion.fr/ http://www.arbredelannee.com/ http://www.lieux-insolites.fr/ http://www.norroylespam.fr / ]
texte n°8: - Spoiler:
" Je m'appelle Brian Waring, je suis né en 1919 en au Royaume Uni. Quand la guerre a éclatée, je me suis directement engagé, après quelques mois de formation je suis affecté à la première compagnie du 6ème bataillon du East Surrey Regiment. Durant le printemps 1940 je suis envoyé avec mon régiment au seins de la British Expeditionary force à la rescousse de nos alliés Belge et français.
Le 12 mai nous relevons un bataillon belge à Mouscron sur la frontière franco belge à quelques kilomètre de Lille. Les premiers jours sont calmes , nous avons même le temps d'aider les fermiers du coin ce qui n'est pas sans me rappeler mon enfance à la campagne. Nous dormons chez l'habitant répartis dans les différentes ferme et entrepôt de la région même si certains habitants sont un peu réticents nous sommes relativement bien accueillis. Nous renforçons les défense sur la frontières et nous érigeons même quelques blockhaus et des tranchées antichar. J'entend de plus en plus de récits de réfugiés sur la puissance de l'attaque allemande et je regarde ces faibles défenses en me demandant vraiment si nous pourront les arrêter... Nous fabriquons quelques faux canons avec des troncs et les disposons le long du mur du cimetière afin d'essayer de tromper les allemands.
Le 20 et le 21 nous recevons le renfort de plusieurs Bren Carriers. Les hommes des Royal Engineers font sauter la route qui relie la France à la Belgique et dynamite également les habitations qui la borde afin de bloquer la route aux panzers qu'on sait de plus en plus proches.
Le 24 marque le premier contact avec les allemands, notre sergent en rentrant de la ferme Warlop tombe nez à nez avec un éclaireur allemand à cheval! Il l'abat d'un coup de revolver et rentre faire son rapport ( nous apprendront grâce à son carnet militaire qu'il appartient au deuxième bataillon du Jager Regiment 82). Ca y est il sont là ça ne va plus tarder maintenant, les officiers nous mettent directement en état d'alerte et nous prenons positions dans les défenses. Durant la nuit quelques échanges d'artilleries ont lieu sans faire de blessés blessés de nos rangs mais détruisant plusieurs maisons ainsi que quelques camions de ravitaillement.
Il est 8h30 le 25 mai, après une nuit de veille à attendre un ennemi qui ne se montre pas, nous le voyons enfin! Une section d'une quinzaine d'allemands à vélo apparaît au loin sur la route qui mène à la France (chaussée de Lille). Je ne peux m'empêcher de penser que pour une armée qu'on disait moderne ils se déplacent à cheval ou à vélos... Les allemands nous ont repérés et nous ouvrons le feu, ça y est j'y suis mon baptême du feu! Ils partent se réfugier dans la cure. Ils en ressortent quelques minutes plus tard et un nouveaux combat s'engage avec le reste de ma section cachée dans le cimetière et la ferme voisine. Ils remontent la chaussée de Lille vers leur position de départ. Le commandement décide de le poursuivre envoie un Bren Carriers à leur trousse. Nous accompagnons le petit blindé et nous tombons sur un nid de résistance au niveau du carrefour du Risquons-Tout. Le mitrailleur du Bren Carrier ouvre le feu et nous l'accompagnons nous touchons quelques allemands mais devant le feu de leurs mitrailleuses nous faisons demi tour. Je suis pour la première fois confronté à la mort, je viens de perdre 2 de mes camarades, tombés à découvert à quelques mètres de moi, nous n'avons pas eu d'autres choix que d'abandonner les corps. Vers 11h nous repartons a l'assaut du nid de résistance. Alors que nous approchons par le même axe que la dernière fois une violente explosion me secoue et je suis projeté au sol. Le Bren Carrier qui se trouvait à une centaine de mètres devant nous à été touché de plein fouet, nous comprenons que les allemands ont installé un canon antichar au carrefour. Le pilote est mort sur le coup ça ne fait pas de doutes seul le mitrailleur arrive a s'extraire du véhicule en flamme il court vers un muret pour se mettre à l'abris mais il est rattrapé par les balles allemandes et s'effondre à quelques mètres de la chenillette en flamme.
Nous quittons Mouscron dans la soirée en laissant derrière nous 5 des nôtres et 9 allemands. Nous faisons halte dans une ferme à quelques kilomètre de là. Durant la nuit je suis réveillé par le coup de départ de notre artillerie, l'artillerie allemande ne tarde pas à répondre. C'est terrifiant tout est en flammes autour de moi et le bruit des explosions est assourdissant, un camion est touché de plein fouet par un obus il est soulevé du sol comme un simple jouet. Tout d'un coup je me sens moi même projeté dans les airs et je retombes plusieurs mètres plus loin, je n'entend plus rien, j'essaie de me relever mais c'est impossible mes jambes ne répondent plus, je ne sens plus rien à part un liquide chaud qui m'envahit la gorge, la dernière image qui s'offre à moi me rappelle les feux d'artifices lors des fêtes du village, je ferme les yeux en sachant que je ne les rouvrirait plus jamais."
Brian Waring est enterré au cimetière militaire de Heverlee, tombe 12 /F/ 8. Je ne connais pas le noms des autres soldat tués ce jour là mais on dénombre 9 allemands et 12 anglais. Certains soldats ont été enterrés au cimetière du Risquons Tout mais ont été déplacés après la guerre, il s'agit de Brian Waring et d'un autre soldat anglais ainsi que 3 soldat allemands: les soldats Pyedigey et Schmidt ( tous deux tombés le 25/05) et du lieutenant Vogyath tombé le 27/05. Aujourd'hui un monument marque l'emplacement des combats, il ne s'agit pas du Bren Carrier qui a été détruit ce jour là mais c'est le même modèle ( Mark 1).
texte n°9: - Spoiler:
La butte de Vauquois, tapi sous un linceul de neige qui semble apaiser les cicatrices encore béantes de la fureur des combats, émerge du brouillard au-dessus de la plaine. En cette année centenaire de l'éclatement de la Grande Guerre, ce site représente toute l'intensité du conflit. Ce haut lieu de la guerre des mines a gardé en mémoire la bataille qui se déroula à partir de 1915. Barbelés, cratères, tranchées, les vestiges d'une lutte à mort sont aujourd'hui les témoins d'une époque tourmentée..
texte n°10: - Spoiler:
Destins croisés La bataille de Normandie dure depuis plus de deux mois. Deux mois de durs combats causants de terribles pertes du côté militaire mais aussi civil. Dans un petit village près de Domfront dans l’Orne, la libération se fait attendre. Cependant, beaucoup d’indices laissent supposer que les « libérateurs » arriveront bientôt. Les bombardements se font de plus en plus importants, et c’est même l’artillerie qui fait feu de temps en temps. Le combat se rapproche… Pour ce qui est de l’occupant, il est en pleine déroute. Après avoir essuyé la défaite de la contre-attaque de Mortain, les troupes allemandes fuient sur la Ferté-Macé et plus généralement vers Alençon. En ce 14 août 1944, les allemands sont dans le village avec canons, chars, camions, en transit. Ils roulent de nuit pour ne pas se faire repérer par l’aviation. Ce jour-là, le bourg est plein d’enthousiasme. On annonce les américains à Domfront et aux portes de Flers. La libération ne va pas tarder. Le 15 août au matin, monsieur R va conduire les vaches à l’herbage comme chaque matin. Mais, dans une haie avant l’entrée du champ, des soldats sont en position avec mitrailleuse et fusils. Ils sont tout camouflés se rappelle-t-il, l’air fatigué, épuisé par ces derniers mois de combats. Ces soldats, ce sont ceux de la 10e division de Waffen-SS qui attendent les américains. Ils disent à monsieur R de faire comme s’ils n’étaient pas là. Après avoir conduit les vaches à l’herbage, monsieur R rentre à sa ferme et vaque à ses occupations. Il est bientôt 12h. Soudain, quelques tirs et explosions se font entendre non loin. Nous sommes dans l’après-midi, les américains arrivent au carrefour près de chez monsieur R et à 1 ou 2km du village ! Ils ont tué un ou deux allemands et blessé au ventre un autre qui est fait prisonnier. Ils stationnent alors au carrefour avec jeep, camion et même des chars qui arrivent de la grande route. La population est heureuse mais la fête modérée. Les allemands ne sont pas loin. Ce sont les soldats du 119e régiment d’infanterie de la 30e Division d’infanterie américaine. À 17h, des explosions se font entendre au carrefour ! C’est les allemands. Ils ont mis en position leur artillerie sur une colline dominant le carrefour, ils tirent sur les américains. Deux américains sont tués, un est blessé. Les civils se réfugient chez eux ou dans les abris. Les tirs se stoppent, deux infirmiers transportent le blessé en lieu sûr dans le bourg du lieu-dit. Repéré par l’artillerie allemande, quelques obus tombent dans le village. Causant la mort d’une femme, d’une jument, un obus tombe dans un poulailler, un mur est endommagé. Pour riposter, les américains mettent en position aux alentours leurs canons de 105 et font feu sur les allemands. La soirée est plutôt calme, mais le lendemain matin (le 16 août), l’artillerie allemande tire à nouveau sur le carrefour, deux américains sont tués. Les américains répliquent et font taire les canons allemands. Ayant entendu parler de chars allemands stationnant dans le village, les américains s’apprêtent à le bombarder. Un chef de réseau de résistance local vient à leur rencontre et arrive à les convaincre de ne pas faire feu sur le village car les allemands sont partis depuis la veille. Le village est sauvé de la destruction et sera libéré dans la matinée. Après les combats du carrefour, monsieur R va récupérer quelques objets dont deux casque qu’il possède encore. Un casque allemand camouflé ayant probablement appartenu à Leopold Engl, né en 1921 à Teplitz-Schönau et tué au combat ce 15 août 1944. Ainsi qu’un casque américain, ayant appartenu à Clois W Garrett né en 1922, originaire de l’Arkansas et qui sera tué le 15 août 1944 à 17h au carrefour par l’artillerie allemande. Leur destin s’est croisé, ils sont morts le même jour, à quelques mètres l’un de l’autre. Ils appartenaient chacun à deux camps adverses mais avaient sans doute un objectif commun, leur survie. Tous deux pris dans la spirale de la guerre, ils avaient tout juste une vingtaine d’année.
texte n°11: - Spoiler:
En 2007, année où j'ai commencé à collectionner les objets des deux grandes guerres, j'habitais avec ma femme et mon premier fils chez mes beaux-parents. Lors d'un repas en famille, mon cher beau-père, voyant mon intérêt pour ce type d'objet me dit : "Adrien, tu sais au fond du jardin, dans le petit cabanon, il y'a un gros couteau pointu, peut-être que c'est une baïonnette... On a faillit la jeter lors de notre déménagement, si ça t'intéresse prend la." Se a quoi ma gentille belle-mère répond promptement : "Mais non minou... C'est le pépé espagnole qui s'en servait à l'époque pour tuer le cochon, on aurait dû le jeter, maintenant il traine dans le cabanon!!!" Du coup la conversation coupe court, mais le beau-père me dit : "Après mangé je te fais voir." Le repas continu dans la joie et la bonne humeur, après le dessert le beau-père m'emmène dans le cabanon, il fouille un peu et me sort le fameux "gros couteau". N'étant qu'un novice à l'époque, je n'identifie pas dessuite l'objet, néanmoins je vois bien que ce n'est pas une baïonnette, il me fait penser au poignard des paras américains, et en l'inspectant de plus pré je vois "US 1917", là je dis à mon beau-père : "Ça sent bon José, ça sent bon!!!" Je suis sûr que c'est militaire, il suffit maintenant de l'identifier. Après l'avoir posté sur le fofo et après quelques recherches sur le net et sur des bouquins, j'ai bien la confirmation que c'est un couteau de tranchée US de la premier guerre mondiale. Et aujourd'hui encore c'est une des pièces de ma collection qui me tient le plus à cœur. Merci beau-papa de me l'avoir offert, et merci belle-maman de ne pas l'avoir jeté.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Lun 4 Aoû - 4:18 | |
| Bonjour A voté Félicitations à tous et bonne chance. |
| | | Klaus Von Othioten Administrateur
Nombre de messages : 7101 Age : 33 Localisation : XV.AK (mot.) - 6.40 Thème de collection : Documents Allemands Date d'inscription : 02/04/2009
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Lun 4 Aoû - 9:30 | |
| A voté également
Bonne chance à tous ! |
| | | julien30 Modérateur
Nombre de messages : 6710 Localisation : Nîmes Thème de collection : croix de fer Date d'inscription : 05/05/2007
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Lun 4 Aoû - 10:36 | |
| Bonjour.
À voté. Félicitation à tous les participants.
Julien. |
| | | eric77 Major
Nombre de messages : 220 Age : 62 Localisation : trilport seine et marne 77 Thème de collection : militaria us ww2 Date d'inscription : 28/02/2013
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Lun 4 Aoû - 11:56 | |
| |
| | | Caporal44 Général de Division
Nombre de messages : 1406 Age : 55 Localisation : Thiers (63) Auvergne. Thème de collection : U.S. 2GM Date d'inscription : 30/07/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Lun 4 Aoû - 13:00 | |
| Bonjour a voter.
Cordialement. |
| | | christophe59400 Lieutenant
Nombre de messages : 582 Age : 35 Localisation : nord cambrai Thème de collection : ww1 ww2 Date d'inscription : 23/02/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Lun 4 Aoû - 14:31 | |
| a voter
bonne chance a tous |
| | | bigrar Lieutenant
Nombre de messages : 512 Age : 36 Localisation : belgique Thème de collection : belge 1830-1940 Date d'inscription : 21/07/2010
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Mar 5 Aoû - 11:25 | |
| A Voté ! |
| | | Eagle J'habite sur le forum !
Nombre de messages : 2559 Age : 31 Localisation : hautes saone Date d'inscription : 01/07/2011
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Mer 6 Aoû - 9:20 | |
| Bonjour, Pas eu le temps de prendre de photos mais j'ai pris le temps de voter De bien jolies photos et de beaux textes. |
| | | Cernunmos Membre d'honneur
Nombre de messages : 2599 Localisation : Normandie Thème de collection : Français Date d'inscription : 05/10/2006
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Ven 8 Aoû - 13:57 | |
| A voté! |
| | | Appollon Caporal
Nombre de messages : 83 Age : 25 Localisation : Saint-Etienne Thème de collection : Les écossais et la Grande Guerre Date d'inscription : 25/07/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Ven 8 Aoû - 19:52 | |
| |
| | | roro771089 Je fais partie des murs
Nombre de messages : 12942 Age : 57 Localisation : 3 frontieres 77/10/89 Thème de collection : 501 RCC , 2DB Date d'inscription : 01/07/2010
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Sam 9 Aoû - 6:40 | |
| |
| | | schmeisser03 J'habite sur le forum !
Nombre de messages : 2746 Age : 59 Localisation : Là où je peux Thème de collection : Décorations et divers WWII Date d'inscription : 04/08/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Sam 9 Aoû - 14:03 | |
| |
| | | HOM2BAZ Général de Division
Nombre de messages : 1418 Localisation : poche de royan Thème de collection : tire-au-flanc (caramel) Date d'inscription : 20/01/2012
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Sam 9 Aoû - 20:01 | |
| OK pour moi H2Z |
| | | FabVader Aspirant
Nombre de messages : 264 Age : 49 Localisation : Versailles Thème de collection : WW2 Date d'inscription : 25/04/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Dim 10 Aoû - 10:51 | |
| a voté. bonne chance aux participants |
| | | cleeclee Maréchal
Nombre de messages : 2420 Age : 25 Localisation : Nevers/Clermont-Ferrand/Paris Thème de collection : Troupes d'Afrique IIIème république Date d'inscription : 17/07/2012
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Mer 13 Aoû - 15:33 | |
| |
| | | sauvagine Major
Nombre de messages : 211 Localisation : france Thème de collection : France40 et Britannique WWII Date d'inscription : 18/07/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Mer 13 Aoû - 15:41 | |
| bonjour à tous a voté @+ philippe
|
| | | machiah Major
Nombre de messages : 207 Localisation : lille Date d'inscription : 14/09/2012
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Jeu 14 Aoû - 10:58 | |
| |
| | | domayeux Membre d'honneur
Nombre de messages : 2848 Age : 82 Localisation : ÉGYPTE/France Thème de collection : armes blanches islamiques Date d'inscription : 06/12/2012
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Jeu 14 Aoû - 11:52 | |
| j'ai voté |
| | | popole70 Sergent
Nombre de messages : 129 Localisation : 70 Thème de collection : US et Allemand WW2 Date d'inscription : 03/09/2012
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Ven 15 Aoû - 19:32 | |
| |
| | | MekaGiss Caporal
Nombre de messages : 52 Age : 37 Localisation : Marne Thème de collection : allemand WWII Date d'inscription : 14/08/2014
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Ven 15 Aoû - 19:59 | |
| A voté (difficile de faire un choix)
bon courage aux participants |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes Dim 17 Aoû - 17:28 | |
| A vos T. Bonne chance à tous |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: le concours d'été, Les Votes | |
| |
| | | | le concours d'été, Les Votes | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|