temoignage, photo et reportage journaux sur la bataille de normandie

Merci pour ces partages passionnants. JC.

De rien jchfab

Salut Adrien
Oui c'est presque réaliste, à demain

bonsoir
un peu de avant après
mortain

mortain

la haye du puit

la haye du puit

Ouistreham

Ravenoville

Roncey

Omaha

Bonsoir,

Cedo je suis admiratif par ton travail ...Merci à toi ...

Respect et Honneur ..

Bonsoir D-Day
Merci beaucoup mon poto

superbe avant et apres

oui, je trouve ca impressionnant quelque part , de se dire que...merci David

Bonjour,

Ta raison Roro il est "very good" se Cedo ...

Respect et Honneur ..

Et en plus quel bel homme
J'ai 3 30.06 pour demain, faudra pas les gâcher

bonsoir les gars
merci je ne fait que des recherches les gars, bon, j'y passe du temps , c'est clair,
Adrien, c'est ce que me dit ma femme tous les jours
j'ai quelques 30 06 mais pas en très bonne état...
Ouistreham

st aubin

Omaha

Carentan


Caen rue st pierre

Trevieres

bonjour
je vais vous présentez Caen avant après


La ville est un champ de ruines et reconstruire prend du temps mais ce travail de reconstruction nécessitera au préalable le déblaiement de pas moins de 2000 000 de m³ de gravats. L'évacuation des gravats débute à la fin de l'été 1944. Elle s'achève à la mi-46. Si une partie des hommes employés à ce déblaiement sont des prisonniers allemands, la plus grosse partie est constituée par des Caennais qui échappent ainsi au lourd chômage qui touche la ville, résultat de la paralysie de l'activité économique. Au début de la reconstruction, les matériaux utilisables sont récupérés et réemployés dans les immeubles neufs. Les gravats permettent de surélever les parties basses de la ville, souvent sujettes à des inondations, ou de remblayer la prairie pour y construire un nouveau boulevard et une cité administrative (actuel emplacement de la piscine).




L'hôtel d'Angleterre, jadis fréquenté par les Allemands sous l'occupation n'est plus qu'un tas de ruines en 1944. La devanture de l'hôtel subsistera jusqu'à la reconstruction.






Le centre ville de Caen quelques jours après la libération le 9 juillet 1944. Entre l'église Saint-Jean et l'Orne tout à été complètement anéanti. Entre l'église Saint-Jean et l'église Saint-Pierre, seul subsiste les murs extérieurs des bâtiments.

avant les bombardements



Dans la nuit du 8 au 9 Juin 1944, un obus de 420 mm tiré par le HMS Rodney vient percuter la flèche de l'Eglise Saint-Pierre qui s’effondre sur la nef.








toute ces photos proviennent du site Caen après guerre en 3D

Super travail !    j'adore ce type de comparaison avant/après.  

J'ai d’ailleurs 2 photos d'époque/moderne que j'ai prises en Normandie sur mon Flickr.

Cedo,
toujours présent,

bonjour
merci Daniel, et merci trooper, c'est sympa aussi ce que tu fais

Bonjour,

merci Cedo pour partager le fruit de tes recherches. C'est vraiment passionnant !

bonjour shining
merci bien, c'est grâce à toi et mes potes du forum qui me motive à continuer , ca fait toujours plaisir

Salut Cedo,
Toujours sur ton fil, encore merci pour le travail fait.
Cordialement

salut gmaz
merci bien

bonjour
saint Lo, noël 1944, en partit detruite, la ville pleurait ses morts...

Noël 1944, c'était seulement quelques mois après le bombardement du carrefour central, du 12 juin, et le drame de La Bigne, du 1er août. Les Torignais pleuraient encore leurs morts et ce Noël était évidemment très triste. Le plus triste de l'histoire de la ville.

Roland Martin, 7 ans en 1944

Son père, Fernand, a disparu sous le bombardement du 12 juin. « Ma mère restait toute seule pour élever ses six enfants, quatre garçons et deux filles. Noël à cette époque, c'était une orange et un petit cadeau. Dans les années qui ont suivi la guerre, Edmond Paillaud, le patron de la laiterie où travaillait mon père, faisait un Noël pour les enfants de ses employés. »

Joseph Lefèvre, 8 ans en 1944

Son père, Eugène, est tué à La Bigne. « Je n'ai pas de souvenirs de ce Noël 1944. Je me souviens que le chanoine Angot était arrivé en octobre, en remplacement du chanoine Chaignon, qui avait été tué à La Bigne. Et que l'abbé Théault était toujours là. Je pense, mais sans en être certain, qu'il y avait eu la messe de minuit. »

Monique Lebeurier, 9 ans en 1944

Son père, Joseph Crocquevieille, et sa soeur Denise, 19 ans, ont été tués au carrefour. « Maman était à l'hôpital où elle allait rester un an et demi. J'étais chez mon oncle et ma tante, Louis et Yvonne Désormais. Nous n'avons pas fêté Noël en 1944. Mais je me souviens qu'à Noël 1945, Maître Joly avait invité les enfants des prisonniers. Mon père allait chez lui pour faire les colis aux prisonniers et il leur tricotait des chaussettes. Avec mon frère Robert, nous avions été invités à ce goûter. »

Marie-Thérèse Putot, 13 ans en 1944

Sa mère, Angèle Briout, et son frère Lucien, 12 ans, ont été tués à La Bigne. « C'est assez vague. On venait de perdre tout le monde et ça n'a jamais été très drôle. Sans famille, ce n'est pas évident quand on a que 13 ans. Il y a des souvenirs auxquels il ne faut pas trop repenser. »

Aimable Lemoigne, 13 ans en 1944

Sa mère, Renée, a été tuée à La Bigne. « J'étais chez une tante à Saint-Malo-de-la-Lande. Je n'avais plus Maman. Papa était à l'hôpital à Bayeux, ses deux jambes coupées. J'étais un peu perdu. J'étais fils unique. C'était mon premier Noël tout seul. »

Suzanne Bergmann, 16 ans en 1944

Son père, Victor Vautier, et son frère Marcel, 15 ans, ont été tués à La Bigne. « J'ai toujours en mémoire l'image d'un homme tué devant la boulangerie Langlois, rue Havin, le jour du bombardement, mais je ne me souviens pas du tout de Noël en 1944. »

Anéanti par le bombardement du 12 juin 1944, le carrefour central représentait à lui seul la tristesse de la population.

pas drôle pour ces gens

oui Daniel, j'ai pensé quand cette période de fin d'année, il était bien d'en parler...

Salut à tous

Sur cette photo, prise devant l'ancienne gare de Mortain, on aperçoit une schwimmwagen laissée pendant la déroute en 44 qui a sa petite histoire.
En effet, la schwimmwagen, portant encore une partie de la plaque d'immatriculation ss 212 + l'insigne de la division Das Reich, appartenait à une unité SS Das Reich. La carcasse fut laissée sur place, criblée de balles.
Un fermier des alentours a récupéré celle-ci, puis, l'a stockée en pièces pour X raisons.
La schwimmwagen dormant dans une grange fut laissée aux oubliettes.

En 2013-2014, un  collectionneur anglais ayant vent que la schwimmwagen existait encore, décide de se mettre à la recherche du 'grale'. Après un périple en France, l'anglais retrouve les traces du fermier en question; le calva conserve on dirait.
D'après ce qu'on dit, la somme proposée atteindrait les 6 chiffres (à vérifier), ce que le fermier refusa!
Je ne connais pas la suite de l'histoire ( vendue, don à un musée,etc..).

Fin de l'épisode

Amicalement Mike

bonsoir mike
je te remercie de ta visite et pour l'histoire qui va avec la photo, par contre, j'ai beau retourner , zoomer la photo, je ne vois pas du tout ce qui est écrit sur la plaque d'immatriculation
en tous cas, si je peux avoir des infos, je ne manquerai pas de te tenir au courant
cdt

Bonjour,

Et Bonne Année

Encore une histoire bouleversante; Bxl.mike je n'ai aucune photo ?..

Respect et Honneur ..

salut D-Day
bonne année à toi aussi et à vous tous qui me suivaient

Bonjour à tous

Voila la source





Amicalement

C'est vrai qu'on parle souvent de Caen mais Saint Lô a beaucoup souffert également, on imagine la détresse de ces gne sune fois l'euphorie de la libération passée, il faut reprendre la vie quotidienne en ayant tout perdu

bxl-mike a écrit:

Bonjour à tous

Voila la source





Amicalement

salut mike
merci pour la source , mais va falloir que je me mette à l'English , en tout cas, j'aimerai mieux que ce sois un collectionneur de la région qui le récupère

oui Adrien, j'ai déjà fait un post sur le sujet , et bien d'autres villes et villages malheureusement